Quiz Gratuit



Fiscalité
Impôts en France : Pourquoi vous payez trop pour si peu ?
La France, parmi les pays les plus taxés, voit ses services publics s’effondrer. Alors, où part vraiment votre argent et comment protéger vos revenus ?

Julien Oseille TV
CEO
PUBLIÉ
10 nov. 2025
Chaque année, des milliards d’euros sont prélevés sur le revenu, la consommation et le travail des Français. Avec un tel niveau de fiscalité, la promesse est claire : en échange de ces contributions obligatoires, l’État s’engage à assurer des services publics de haute qualité, accessibles à tous. Éducation gratuite, santé universelle, sécurité garantie et retraite assurée : autant de piliers censés justifier cette ponction massive.
Mais dans les faits, ce contrat social s'effondre pièce par pièce. L’école publique est en chute libre, le système de santé s’enlise, la sécurité se dégrade, et les retraites reposent sur un équilibre précaire. Même les missions dites "régaliennes", sont de plus en plus défaillantes.
Dans cet article, je décortique les quatre plus grandes illusions du contrat social français : éducation, santé, sécurité et retraite. Je vous montre pourquoi ces promesses sont non seulement mal tenues, mais aussi dramatiquement inefficaces au regard des sommes colossales collectées chaque année.
Et si ce que l’on croyait solide ne tenait plus vraiment debout, depuis bien longtemps déjà ?
Points clés de l’article :
Éducation gratuite ? Une promesse qui coûte cher et ne tient plus ses résultats.
Santé publique en panne : des cotisations record pour des soins en déclin.
Sécurité et justice affaiblies, malgré des milliards engloutis.
Retraite française : un système à bout de souffle qui pourrait bien s’effondrer.
Reprendre le contrôle : s’affranchir d’un système défaillant en optimisant sa fiscalité légalement.
L’illusion de l’école gratuite et de qualité en France

Parmi les promesses les plus fortes du contrat social français, l’éducation occupe une place centrale. On nous parle d’école gratuite et de savoir pour tous, financés par l’impôt, comme si cette mission sacrée était irréprochable. Pourtant, lorsque l’on gratte un peu le vernis, la réalité est bien moins reluisante.
D’abord, rien n’est gratuit. La scolarité d’un élève en France coûte en moyenne 10 470 euros par an, selon les chiffres officiels. Cette somme est prélevée, de manière forcée, à travers les impôts, la TVA, les cotisations sociales, et même par l’endettement public, c’est-à-dire sur le dos des générations futures. Il ne s’agit donc pas d’un service offert, mais bien d’un coût réel financé par chacun, parfois sans s’en rendre compte.
Et avec une telle dépense, on pourrait logiquement attendre un niveau d’excellence. Pourtant, la France recule depuis deux décennies dans le classement PISA, qui évalue les compétences des élèves de 15 ans à l’échelle internationale. Elle a perdu 15 places en 20 ans, et se retrouve à peine dans la moyenne européenne. Pas exactement ce à quoi on s’attend pour une puissance qui consacre autant de ressources à son système éducatif.
Ce qui me frappe personnellement, c’est le contraste entre les jeunes d’aujourd’hui et ceux des générations précédentes. Il suffit de revoir quelques archives de l’INA pour mesurer la différence. Des enfants des années 60 ou 80 s’exprimaient avec une clarté et une structure étonnantes. Aujourd’hui, beaucoup d’adolescents peinent à aligner une phrase cohérente, et semblent plus familiers de TikTok que de Molière. C’est un symptôme alarmant d’un savoir qui s’effrite, malgré des moyens toujours plus massifs.

À cela s’ajoute un autre problème : les priorités de l’institution scolaire se détournent de l’essentiel. Au lieu de renforcer la lecture, le calcul ou la rigueur intellectuelle, on voit émerger des débats sur l’écriture inclusive ou des programmes idéologiques déconnectés des besoins fondamentaux.
Et pendant ce temps, ailleurs, les résultats s’améliorent. Des pays comme Singapour, Hong Kong, Macao ou encore l’Estonie, qui dépensent pourtant bien moins par élève, obtiennent des performances nettement supérieures. Leur secret ? Une gestion plus rigoureuse, une exigence de résultats et surtout, une fiscalité bien plus légère, souvent inférieure à 20 %, voire inexistante sur le revenu dans certains cas grâce à des systèmes territoriaux.
Alors oui, dans ces pays, l’éducation est souvent semi-privée ou totalement privée, ce qui signifie que les parents paient directement. Mais ils le font avec des revenus plus élevés et moins d’impôts à verser. Et surtout, lorsqu’ils payent eux-mêmes, ils exigent une vraie qualité.
Ce décalage crée une situation absurde : plus l’État prélève, moins le service est bon. À l’inverse, dans les systèmes où les citoyens gardent le contrôle de leurs ressources, la qualité suit naturellement. Ce mythe d’une école gratuite et performante est donc non seulement erroné, mais aussi dangereux. Il entretient une illusion qui empêche toute remise en question sérieuse, alors même que les résultats scolaires français sont en chute libre.
Et le plus inquiétant, c’est que malgré ces chiffres, la majorité des Français continue à croire à cette fiction. Parce que c’est « la France qui paye », pense-t-on. Mais non, c’est bien le contribuable qui alimente ce système, souvent sans le savoir. Et tant qu’on n’aura pas le courage de regarder les choses en face, l’école publique continuera de reculer, au détriment des générations à venir.
Le mythe d’un système de santé gratuit et performant

Autre pilier du contrat social à la française, la santé est souvent présentée comme un acquis exceptionnel. Une médecine gratuite, accessible à tous, et soi-disant parmi les meilleures au monde. Mais derrière cette réputation flatteuse, la réalité est tout autre. Il s’agit là encore d’un récit idéalisé, bien éloigné de l’expérience concrète de millions de Français.
Commençons par ce qui fâche : le coût. Si certaines catégories de population accèdent effectivement aux soins sans rien payer (bénéficiaires de la CMU, étrangers n’ayant jamais cotisé, …) ce n’est pas le cas pour la majorité silencieuse. Un salarié moyen voit près de 20 % de son salaire brut disparaître chaque mois dans des prélèvements obligatoires : URSSAF, CSG, CRDS… Cela représente environ 600 euros par mois, prélevés automatiquement, sans même qu’il ne réalise à quel point il paie cher. Et pour ceux qui gagnent bien leur vie, c’est encore plus lourd.
Mais à quoi donne droit cette contribution massive ? À un système engorgé, désorganisé, et de moins en moins fiable :
Des délais d’attente interminables pour consulter un spécialiste.
Des urgences saturées, parfois incapables de prendre en charge les patients à temps.
Une explosion des erreurs médicales.
Et même dans les zones proches de grandes villes, l’apparition de déserts médicaux où il devient difficile, voire impossible, de trouver un généraliste disponible.
Face à cela, nombreux sont ceux qui doivent souscrire une mutuelle. Autrement dit, on paie deux fois : une première fois via l’impôt, une seconde via la complémentaire santé.
En comparaison, les assurances santé privées internationales offrent une alternative bien plus efficace, et à un coût souvent nettement inférieur. Pour 100 à 400 euros par mois, il est possible de bénéficier :
De cliniques privées haut de gamme.
De consultations immédiates.
De check-up réguliers, d’un suivi personnalisé, du dentaire, et même d’assistance en cas d’incapacité temporaire de travail, avec des couvertures allant jusqu’à 4000 dollars par mois.
Certaines offres, comme SafetyWing avec sa carte prépayée Nomad Citizen, permettent de ne rien avancer lors d’un soin. Et surtout, tout cela est accessible dans des pays où l’on paie bien moins d’impôts ou même pas du tout. Ce n’est donc pas seulement une question de prix, mais aussi de qualité de service.

Je réponds souvent à une remarque qui revient dans chaque échange sur l’expatriation : « Tu finiras par revenir en France te faire soigner ». Ce cliché est tenace, mais il ne repose sur aucune réalité concrète. Pourquoi un expatrié, vivant dans un pays avec une excellente offre privée, reviendrait-il subir des délais interminables et un service médiocre ? Sans parler du coût des billets, du temps perdu et de l’inconfort.
La vérité, c’est que les expatriés qui ont accès à un bon niveau de vie à l’étranger ne reviennent pas. Ils savent que leur assurance privée leur offre mieux, plus vite, et souvent pour moins cher. Ce fantasme du « système de santé gratuit à la française » s'effondre dès qu’on le compare sérieusement à ce qui existe ailleurs. Il est temps de comprendre que payer plus ne garantit pas mieux, surtout dans un pays où l’efficacité publique recule chaque année un peu plus.
Une insécurité galopante malgré une fiscalité écrasante
Quand on parle du contrat social, il est une promesse qui devrait être non négociable : la sécurité. Historiquement, c’est même la première mission d’un État digne de ce nom. Rousseau parlait déjà d’un échange : les citoyens acceptaient de céder une part de leur liberté et de contribuer financièrement à travers l’impôt en échange d’un cadre de vie stable, d’un ordre public respecté et d’une justice efficace. Mais aujourd’hui, ce pacte est trahi.

Malgré des milliards engloutis dans la sécurité publique, les résultats sont dramatiquement insuffisants. Il suffit de regarder les classements internationaux pour s’en convaincre : la France figure désormais parmi les pays les plus dangereux d’Europe, avec plusieurs de ses villes classées en tête des zones à haut risque. Le site Numbeo, qui agrège des données de terrain, positionne la France aux côtés de pays comme la Côte d’Ivoire ou la Libye. Sans aucun mépris pour ces pays, il faut reconnaître qu’il est étonnant qu’un pays du G7, capable de lever autant d’impôts, puisse se retrouver à un tel niveau de dégradation.
On objecte souvent que le taux d’homicides y reste bas. Ce n’est pas faux, bien qu’il ait tout de même grimpé de 25 % entre 2020 et 2023. Mais le véritable fléau, ce n’est pas uniquement le crime violent, c’est la criminalité du quotidien. Celle qui mine la vie réelle : incivilités permanentes, vols, agressions gratuites, groupes menaçants dans les rues, zones de non-droit. Et ce n’est plus marginal : ce climat d’insécurité s’est banalisé au point que beaucoup adaptent leur vie à cette nouvelle norme. Éviter certains quartiers, rentrer plus tôt, ne pas porter certains vêtements… Voilà ce que vivent au quotidien des Français qui paient pourtant parmi les plus forts taux d’imposition au monde.
Il y a là une absurdité profonde : avec 70 % de pression fiscale globale, il devrait être possible de circuler librement à toute heure, sans avoir à craindre un regard menaçant ou une agression gratuite. Or, c’est l’inverse qui se produit. Et cette situation ne s’explique pas par un soi-disant manque de moyens. Elle s’explique par une mauvaise gestion, une répartition inefficace des ressources, et surtout une justice défaillante.
Les comparaisons internationales sont édifiantes. Des pays comme les Émirats, Singapour, Hong Kong, Taïwan ou encore le Qatar, affichent des fiscalités très faibles, parfois même zéro impôt sur le revenu, et pourtant, ce sont parmi les endroits les plus sûrs de la planète. La corrélation entre fiscalité élevée et sécurité est non seulement absente, mais elle semble même inversée.
Ce climat d’insécurité généralisée n’est pas une fatalité, ni une conséquence d’un prétendu manque de budget.
Alors pourquoi ça ne fonctionne pas en France ? Parce que l’impunité règne. La justice, gangrenée par des idéologies laxistes, ne fait plus respecter l’ordre. Les peines sont allégées, mal exécutées, voire tout simplement pas appliquées.
La retraite : un Ponzi légal auquel tout le monde participe

Terminons ce tour d’horizon du contrat social français avec ce qui en constitue probablement la plus grande illusion collective : le système de retraite. Une mécanique bien huilée ? Un modèle social envié dans le monde ? Pas vraiment. Si l’on devait appeler les choses par leur nom, il s’agirait tout simplement d’un Ponzi d’État, légal mais toxique, entretenu depuis des décennies au prix d’un endormissement collectif savamment orchestré.
Ce qui est fascinant avec ce système par répartition, c’est qu’il repose sur un principe que plus personne, nulle part ailleurs dans le monde, n’accepterait consciemment : cotiser aujourd’hui pour financer la retraite des autres, sans aucune garantie de percevoir quoi que ce soit demain. Et ce n’est pas une figure de style. Même en additionnant l’ensemble des cotisations, le système ne couvre que 65 % des retraites versées. Le reste ? Des impôts supplémentaires et 20 % de subventions. En clair : le système est structurellement déficitaire.
Et pourtant, chaque mois, les jeunes actifs continuent à cotiser comme si de rien n’était. Par habitude, par ignorance, ou parfois même par foi aveugle dans ce mirage collectif. Je me suis souvent demandé ce qui pouvait bien motiver cette docilité. Est-ce de la résignation ? Un manque de culture économique ? Ou bien simplement un attachement émotionnel à une promesse qui n’existe plus ? Quoi qu’il en soit, les chiffres, eux, ne mentent pas.
Avec des départs à la retraite toujours trop précoces, une espérance de vie qui augmente, des taux de natalité en chute libre et des incitations au travail en constante régression, le modèle ne tient plus la route. Et le plus inquiétant, c’est que la question n’est plus de savoir “si” ce système va s’effondrer, mais “quand” et surtout “qui” en paiera le prix.
Il faut bien comprendre que dans ce jeu de chaises musicales, celui qui ne capitalise pas se retrouvera sans rien. Car pendant que les Français versent religieusement chaque mois leurs cotisations dans un trou sans fond, la grande majorité d’entre eux ne met pas un centime de côté. Or, si l’on faisait un calcul simple avec les mêmes montants qu’un salarié médian verse chaque mois à la retraite, soit environ 550 €, placés non pas dans les caisses publiques mais dans un index boursier, les résultats seraient tout simplement spectaculaires.
Sur 40 ans, avec un rendement annuel moyen de 10,5 %, cela représente près de 4 millions d’euros à 65 ans. Et si cette somme est ensuite placée en produit sécurisé à 6 %, cela génère 240 000 € par an, soit 20 000 € par mois de rente. À comparer aux 1 500 € mensuels perçus en moyenne par un retraité français, sur une durée de retraite estimée à 23 ans, soit 414 000 € au total.
Faites les comptes : vous perdez 90 % de votre potentiel financier en confiant vos cotisations à l’État. Et ce, dans un système qui peut s’effondrer à tout moment, vous laissant sans filet, sans capital, sans héritage pour vos enfants.
Ce constat est d’autant plus effrayant que le modèle alternatif existe, fonctionne, et est d’une simplicité déconcertante. Il repose sur la capitalisation, l’épargne personnelle, et un minimum de connaissances financières. Mais pour cela, il faut accepter de sortir de la dépendance à l’État, et reprendre le contrôle de ses choix économiques.
Conclusion
En résumé, le contrat social français s’effrite sous le poids de ses contradictions. Derrière la promesse d’un État protecteur capable d’assurer l’éducation, la santé, la sécurité et la retraite de tous, se cache un modèle inefficace où l’argent public est mal dépensé, la gestion est défaillante et les résultats sont en chute libre. Les Français financent à prix fort un système qui n’assure plus ses missions essentielles, tout en continuant à croire qu’il suffit de payer davantage pour que les choses s’améliorent. Or, le véritable problème ne vient pas du montant collecté, mais de l’usage désastreux des ressources et d’un appareil administratif devenu trop lourd pour fonctionner correctement.
Face à ce constat, il est encore possible de reprendre le contrôle de sa situation financière et de sa liberté. En comprenant comment structurer ses revenus, diversifier ses investissements et choisir des juridictions plus intelligentes fiscalement, on peut vivre mieux tout en contribuant moins. C’est précisément ce que j’explique, étape par étape, dans mon programme complet pour optimiser sa fiscalité légalement, investir et s’expatrier, qui regroupe stratégies, outils pratiques et une communauté active d’entrepreneurs à l’international. Pour celles et ceux qui préfèrent un suivi plus personnalisé, notre accompagnement individuel en expatriation et fiscalité internationale permet d’être guidé par une équipe d’experts pour bâtir une vie plus libre, plus sûre et fiscalement optimisée.
Parce qu’à un moment, il ne suffit plus d’espérer que le système change. Il faut simplement apprendre à en sortir intelligemment.
FAQ
Pourquoi dit-on que la France est le pays le plus taxé du monde ?
Parce que la pression fiscale globale dépasse celle de tous les autres pays développés. Entre impôt sur le revenu, cotisations sociales, TVA et taxes locales, les Français peuvent voir jusqu’à 70 % de leurs revenus partir à l’État, sans bénéficier de services publics réellement performants.
L’école en France est-elle vraiment gratuite et de qualité ?
Non, chaque élève coûte plus de 10 000 € par an à l’État, financés par vos impôts. Malgré ces dépenses colossales, la France a chuté de 15 places dans le classement PISA en vingt ans. L’enseignement se dégrade, les priorités pédagogiques s’éloignent de l’essentiel et la qualité globale s’effondre.
Pourquoi parle-t-on d’un effondrement de la sécurité en France ?
Parce que les chiffres parlent d’eux-mêmes : le taux d’homicides a augmenté de 25 % depuis 2020 et la criminalité du quotidien explose. Selon Numbeo, la France est désormais classée parmi les pays les plus dangereux d’Europe, loin derrière des pays à fiscalité faible comme Singapour ou les Émirats arabes unis.
Pourquoi autant de Français envisagent-ils l’expatriation ?
Parce qu’ils comprennent que d’autres pays offrent plus de liberté, moins d’impôts et une meilleure qualité de vie. En s’expatriant légalement, il est possible d’alléger sa fiscalité, d’investir plus efficacement et de protéger son patrimoine sans enfreindre la loi.
Comment optimiser sa fiscalité légalement ?
Il existe aujourd’hui des solutions simples et parfaitement légales pour réduire sa fiscalité dans de bonnes conditions. J’explique comment procéder concrètement dans mon accompagnement pour optimiser sa fiscalité légalement.
Chaque année, des milliards d’euros sont prélevés sur le revenu, la consommation et le travail des Français. Avec un tel niveau de fiscalité, la promesse est claire : en échange de ces contributions obligatoires, l’État s’engage à assurer des services publics de haute qualité, accessibles à tous. Éducation gratuite, santé universelle, sécurité garantie et retraite assurée : autant de piliers censés justifier cette ponction massive.
Mais dans les faits, ce contrat social s'effondre pièce par pièce. L’école publique est en chute libre, le système de santé s’enlise, la sécurité se dégrade, et les retraites reposent sur un équilibre précaire. Même les missions dites "régaliennes", sont de plus en plus défaillantes.
Dans cet article, je décortique les quatre plus grandes illusions du contrat social français : éducation, santé, sécurité et retraite. Je vous montre pourquoi ces promesses sont non seulement mal tenues, mais aussi dramatiquement inefficaces au regard des sommes colossales collectées chaque année.
Et si ce que l’on croyait solide ne tenait plus vraiment debout, depuis bien longtemps déjà ?
Points clés de l’article :
Éducation gratuite ? Une promesse qui coûte cher et ne tient plus ses résultats.
Santé publique en panne : des cotisations record pour des soins en déclin.
Sécurité et justice affaiblies, malgré des milliards engloutis.
Retraite française : un système à bout de souffle qui pourrait bien s’effondrer.
Reprendre le contrôle : s’affranchir d’un système défaillant en optimisant sa fiscalité légalement.
L’illusion de l’école gratuite et de qualité en France

Parmi les promesses les plus fortes du contrat social français, l’éducation occupe une place centrale. On nous parle d’école gratuite et de savoir pour tous, financés par l’impôt, comme si cette mission sacrée était irréprochable. Pourtant, lorsque l’on gratte un peu le vernis, la réalité est bien moins reluisante.
D’abord, rien n’est gratuit. La scolarité d’un élève en France coûte en moyenne 10 470 euros par an, selon les chiffres officiels. Cette somme est prélevée, de manière forcée, à travers les impôts, la TVA, les cotisations sociales, et même par l’endettement public, c’est-à-dire sur le dos des générations futures. Il ne s’agit donc pas d’un service offert, mais bien d’un coût réel financé par chacun, parfois sans s’en rendre compte.
Et avec une telle dépense, on pourrait logiquement attendre un niveau d’excellence. Pourtant, la France recule depuis deux décennies dans le classement PISA, qui évalue les compétences des élèves de 15 ans à l’échelle internationale. Elle a perdu 15 places en 20 ans, et se retrouve à peine dans la moyenne européenne. Pas exactement ce à quoi on s’attend pour une puissance qui consacre autant de ressources à son système éducatif.
Ce qui me frappe personnellement, c’est le contraste entre les jeunes d’aujourd’hui et ceux des générations précédentes. Il suffit de revoir quelques archives de l’INA pour mesurer la différence. Des enfants des années 60 ou 80 s’exprimaient avec une clarté et une structure étonnantes. Aujourd’hui, beaucoup d’adolescents peinent à aligner une phrase cohérente, et semblent plus familiers de TikTok que de Molière. C’est un symptôme alarmant d’un savoir qui s’effrite, malgré des moyens toujours plus massifs.

À cela s’ajoute un autre problème : les priorités de l’institution scolaire se détournent de l’essentiel. Au lieu de renforcer la lecture, le calcul ou la rigueur intellectuelle, on voit émerger des débats sur l’écriture inclusive ou des programmes idéologiques déconnectés des besoins fondamentaux.
Et pendant ce temps, ailleurs, les résultats s’améliorent. Des pays comme Singapour, Hong Kong, Macao ou encore l’Estonie, qui dépensent pourtant bien moins par élève, obtiennent des performances nettement supérieures. Leur secret ? Une gestion plus rigoureuse, une exigence de résultats et surtout, une fiscalité bien plus légère, souvent inférieure à 20 %, voire inexistante sur le revenu dans certains cas grâce à des systèmes territoriaux.
Alors oui, dans ces pays, l’éducation est souvent semi-privée ou totalement privée, ce qui signifie que les parents paient directement. Mais ils le font avec des revenus plus élevés et moins d’impôts à verser. Et surtout, lorsqu’ils payent eux-mêmes, ils exigent une vraie qualité.
Ce décalage crée une situation absurde : plus l’État prélève, moins le service est bon. À l’inverse, dans les systèmes où les citoyens gardent le contrôle de leurs ressources, la qualité suit naturellement. Ce mythe d’une école gratuite et performante est donc non seulement erroné, mais aussi dangereux. Il entretient une illusion qui empêche toute remise en question sérieuse, alors même que les résultats scolaires français sont en chute libre.
Et le plus inquiétant, c’est que malgré ces chiffres, la majorité des Français continue à croire à cette fiction. Parce que c’est « la France qui paye », pense-t-on. Mais non, c’est bien le contribuable qui alimente ce système, souvent sans le savoir. Et tant qu’on n’aura pas le courage de regarder les choses en face, l’école publique continuera de reculer, au détriment des générations à venir.
Le mythe d’un système de santé gratuit et performant

Autre pilier du contrat social à la française, la santé est souvent présentée comme un acquis exceptionnel. Une médecine gratuite, accessible à tous, et soi-disant parmi les meilleures au monde. Mais derrière cette réputation flatteuse, la réalité est tout autre. Il s’agit là encore d’un récit idéalisé, bien éloigné de l’expérience concrète de millions de Français.
Commençons par ce qui fâche : le coût. Si certaines catégories de population accèdent effectivement aux soins sans rien payer (bénéficiaires de la CMU, étrangers n’ayant jamais cotisé, …) ce n’est pas le cas pour la majorité silencieuse. Un salarié moyen voit près de 20 % de son salaire brut disparaître chaque mois dans des prélèvements obligatoires : URSSAF, CSG, CRDS… Cela représente environ 600 euros par mois, prélevés automatiquement, sans même qu’il ne réalise à quel point il paie cher. Et pour ceux qui gagnent bien leur vie, c’est encore plus lourd.
Mais à quoi donne droit cette contribution massive ? À un système engorgé, désorganisé, et de moins en moins fiable :
Des délais d’attente interminables pour consulter un spécialiste.
Des urgences saturées, parfois incapables de prendre en charge les patients à temps.
Une explosion des erreurs médicales.
Et même dans les zones proches de grandes villes, l’apparition de déserts médicaux où il devient difficile, voire impossible, de trouver un généraliste disponible.
Face à cela, nombreux sont ceux qui doivent souscrire une mutuelle. Autrement dit, on paie deux fois : une première fois via l’impôt, une seconde via la complémentaire santé.
En comparaison, les assurances santé privées internationales offrent une alternative bien plus efficace, et à un coût souvent nettement inférieur. Pour 100 à 400 euros par mois, il est possible de bénéficier :
De cliniques privées haut de gamme.
De consultations immédiates.
De check-up réguliers, d’un suivi personnalisé, du dentaire, et même d’assistance en cas d’incapacité temporaire de travail, avec des couvertures allant jusqu’à 4000 dollars par mois.
Certaines offres, comme SafetyWing avec sa carte prépayée Nomad Citizen, permettent de ne rien avancer lors d’un soin. Et surtout, tout cela est accessible dans des pays où l’on paie bien moins d’impôts ou même pas du tout. Ce n’est donc pas seulement une question de prix, mais aussi de qualité de service.

Je réponds souvent à une remarque qui revient dans chaque échange sur l’expatriation : « Tu finiras par revenir en France te faire soigner ». Ce cliché est tenace, mais il ne repose sur aucune réalité concrète. Pourquoi un expatrié, vivant dans un pays avec une excellente offre privée, reviendrait-il subir des délais interminables et un service médiocre ? Sans parler du coût des billets, du temps perdu et de l’inconfort.
La vérité, c’est que les expatriés qui ont accès à un bon niveau de vie à l’étranger ne reviennent pas. Ils savent que leur assurance privée leur offre mieux, plus vite, et souvent pour moins cher. Ce fantasme du « système de santé gratuit à la française » s'effondre dès qu’on le compare sérieusement à ce qui existe ailleurs. Il est temps de comprendre que payer plus ne garantit pas mieux, surtout dans un pays où l’efficacité publique recule chaque année un peu plus.
Une insécurité galopante malgré une fiscalité écrasante
Quand on parle du contrat social, il est une promesse qui devrait être non négociable : la sécurité. Historiquement, c’est même la première mission d’un État digne de ce nom. Rousseau parlait déjà d’un échange : les citoyens acceptaient de céder une part de leur liberté et de contribuer financièrement à travers l’impôt en échange d’un cadre de vie stable, d’un ordre public respecté et d’une justice efficace. Mais aujourd’hui, ce pacte est trahi.

Malgré des milliards engloutis dans la sécurité publique, les résultats sont dramatiquement insuffisants. Il suffit de regarder les classements internationaux pour s’en convaincre : la France figure désormais parmi les pays les plus dangereux d’Europe, avec plusieurs de ses villes classées en tête des zones à haut risque. Le site Numbeo, qui agrège des données de terrain, positionne la France aux côtés de pays comme la Côte d’Ivoire ou la Libye. Sans aucun mépris pour ces pays, il faut reconnaître qu’il est étonnant qu’un pays du G7, capable de lever autant d’impôts, puisse se retrouver à un tel niveau de dégradation.
On objecte souvent que le taux d’homicides y reste bas. Ce n’est pas faux, bien qu’il ait tout de même grimpé de 25 % entre 2020 et 2023. Mais le véritable fléau, ce n’est pas uniquement le crime violent, c’est la criminalité du quotidien. Celle qui mine la vie réelle : incivilités permanentes, vols, agressions gratuites, groupes menaçants dans les rues, zones de non-droit. Et ce n’est plus marginal : ce climat d’insécurité s’est banalisé au point que beaucoup adaptent leur vie à cette nouvelle norme. Éviter certains quartiers, rentrer plus tôt, ne pas porter certains vêtements… Voilà ce que vivent au quotidien des Français qui paient pourtant parmi les plus forts taux d’imposition au monde.
Il y a là une absurdité profonde : avec 70 % de pression fiscale globale, il devrait être possible de circuler librement à toute heure, sans avoir à craindre un regard menaçant ou une agression gratuite. Or, c’est l’inverse qui se produit. Et cette situation ne s’explique pas par un soi-disant manque de moyens. Elle s’explique par une mauvaise gestion, une répartition inefficace des ressources, et surtout une justice défaillante.
Les comparaisons internationales sont édifiantes. Des pays comme les Émirats, Singapour, Hong Kong, Taïwan ou encore le Qatar, affichent des fiscalités très faibles, parfois même zéro impôt sur le revenu, et pourtant, ce sont parmi les endroits les plus sûrs de la planète. La corrélation entre fiscalité élevée et sécurité est non seulement absente, mais elle semble même inversée.
Ce climat d’insécurité généralisée n’est pas une fatalité, ni une conséquence d’un prétendu manque de budget.
Alors pourquoi ça ne fonctionne pas en France ? Parce que l’impunité règne. La justice, gangrenée par des idéologies laxistes, ne fait plus respecter l’ordre. Les peines sont allégées, mal exécutées, voire tout simplement pas appliquées.
La retraite : un Ponzi légal auquel tout le monde participe

Terminons ce tour d’horizon du contrat social français avec ce qui en constitue probablement la plus grande illusion collective : le système de retraite. Une mécanique bien huilée ? Un modèle social envié dans le monde ? Pas vraiment. Si l’on devait appeler les choses par leur nom, il s’agirait tout simplement d’un Ponzi d’État, légal mais toxique, entretenu depuis des décennies au prix d’un endormissement collectif savamment orchestré.
Ce qui est fascinant avec ce système par répartition, c’est qu’il repose sur un principe que plus personne, nulle part ailleurs dans le monde, n’accepterait consciemment : cotiser aujourd’hui pour financer la retraite des autres, sans aucune garantie de percevoir quoi que ce soit demain. Et ce n’est pas une figure de style. Même en additionnant l’ensemble des cotisations, le système ne couvre que 65 % des retraites versées. Le reste ? Des impôts supplémentaires et 20 % de subventions. En clair : le système est structurellement déficitaire.
Et pourtant, chaque mois, les jeunes actifs continuent à cotiser comme si de rien n’était. Par habitude, par ignorance, ou parfois même par foi aveugle dans ce mirage collectif. Je me suis souvent demandé ce qui pouvait bien motiver cette docilité. Est-ce de la résignation ? Un manque de culture économique ? Ou bien simplement un attachement émotionnel à une promesse qui n’existe plus ? Quoi qu’il en soit, les chiffres, eux, ne mentent pas.
Avec des départs à la retraite toujours trop précoces, une espérance de vie qui augmente, des taux de natalité en chute libre et des incitations au travail en constante régression, le modèle ne tient plus la route. Et le plus inquiétant, c’est que la question n’est plus de savoir “si” ce système va s’effondrer, mais “quand” et surtout “qui” en paiera le prix.
Il faut bien comprendre que dans ce jeu de chaises musicales, celui qui ne capitalise pas se retrouvera sans rien. Car pendant que les Français versent religieusement chaque mois leurs cotisations dans un trou sans fond, la grande majorité d’entre eux ne met pas un centime de côté. Or, si l’on faisait un calcul simple avec les mêmes montants qu’un salarié médian verse chaque mois à la retraite, soit environ 550 €, placés non pas dans les caisses publiques mais dans un index boursier, les résultats seraient tout simplement spectaculaires.
Sur 40 ans, avec un rendement annuel moyen de 10,5 %, cela représente près de 4 millions d’euros à 65 ans. Et si cette somme est ensuite placée en produit sécurisé à 6 %, cela génère 240 000 € par an, soit 20 000 € par mois de rente. À comparer aux 1 500 € mensuels perçus en moyenne par un retraité français, sur une durée de retraite estimée à 23 ans, soit 414 000 € au total.
Faites les comptes : vous perdez 90 % de votre potentiel financier en confiant vos cotisations à l’État. Et ce, dans un système qui peut s’effondrer à tout moment, vous laissant sans filet, sans capital, sans héritage pour vos enfants.
Ce constat est d’autant plus effrayant que le modèle alternatif existe, fonctionne, et est d’une simplicité déconcertante. Il repose sur la capitalisation, l’épargne personnelle, et un minimum de connaissances financières. Mais pour cela, il faut accepter de sortir de la dépendance à l’État, et reprendre le contrôle de ses choix économiques.
Conclusion
En résumé, le contrat social français s’effrite sous le poids de ses contradictions. Derrière la promesse d’un État protecteur capable d’assurer l’éducation, la santé, la sécurité et la retraite de tous, se cache un modèle inefficace où l’argent public est mal dépensé, la gestion est défaillante et les résultats sont en chute libre. Les Français financent à prix fort un système qui n’assure plus ses missions essentielles, tout en continuant à croire qu’il suffit de payer davantage pour que les choses s’améliorent. Or, le véritable problème ne vient pas du montant collecté, mais de l’usage désastreux des ressources et d’un appareil administratif devenu trop lourd pour fonctionner correctement.
Face à ce constat, il est encore possible de reprendre le contrôle de sa situation financière et de sa liberté. En comprenant comment structurer ses revenus, diversifier ses investissements et choisir des juridictions plus intelligentes fiscalement, on peut vivre mieux tout en contribuant moins. C’est précisément ce que j’explique, étape par étape, dans mon programme complet pour optimiser sa fiscalité légalement, investir et s’expatrier, qui regroupe stratégies, outils pratiques et une communauté active d’entrepreneurs à l’international. Pour celles et ceux qui préfèrent un suivi plus personnalisé, notre accompagnement individuel en expatriation et fiscalité internationale permet d’être guidé par une équipe d’experts pour bâtir une vie plus libre, plus sûre et fiscalement optimisée.
Parce qu’à un moment, il ne suffit plus d’espérer que le système change. Il faut simplement apprendre à en sortir intelligemment.
FAQ
Pourquoi dit-on que la France est le pays le plus taxé du monde ?
Parce que la pression fiscale globale dépasse celle de tous les autres pays développés. Entre impôt sur le revenu, cotisations sociales, TVA et taxes locales, les Français peuvent voir jusqu’à 70 % de leurs revenus partir à l’État, sans bénéficier de services publics réellement performants.
L’école en France est-elle vraiment gratuite et de qualité ?
Non, chaque élève coûte plus de 10 000 € par an à l’État, financés par vos impôts. Malgré ces dépenses colossales, la France a chuté de 15 places dans le classement PISA en vingt ans. L’enseignement se dégrade, les priorités pédagogiques s’éloignent de l’essentiel et la qualité globale s’effondre.
Pourquoi parle-t-on d’un effondrement de la sécurité en France ?
Parce que les chiffres parlent d’eux-mêmes : le taux d’homicides a augmenté de 25 % depuis 2020 et la criminalité du quotidien explose. Selon Numbeo, la France est désormais classée parmi les pays les plus dangereux d’Europe, loin derrière des pays à fiscalité faible comme Singapour ou les Émirats arabes unis.
Pourquoi autant de Français envisagent-ils l’expatriation ?
Parce qu’ils comprennent que d’autres pays offrent plus de liberté, moins d’impôts et une meilleure qualité de vie. En s’expatriant légalement, il est possible d’alléger sa fiscalité, d’investir plus efficacement et de protéger son patrimoine sans enfreindre la loi.
Comment optimiser sa fiscalité légalement ?
Il existe aujourd’hui des solutions simples et parfaitement légales pour réduire sa fiscalité dans de bonnes conditions. J’explique comment procéder concrètement dans mon accompagnement pour optimiser sa fiscalité légalement.
Auteur

Julien Oseille TV
CEO
Passionné par l'e-commerce, le business en ligne et l’expatriation, j’ai bâti ma liberté en lançant mon premier produit sur Amazon il y a 9 ans, puis en explorant les meilleures stratégies pour entreprendre sans subir une fiscalité écrasante.
Aujourd’hui, après avoir généré plusieurs millions d’euros et vécu aux quatre coins du monde, je vous partage mon expertise pour vous aider à créer un business rentable et choisir le pays qui correspond à vos valeurs, tout en optimisant votre fiscalité.
Ebook Gratuit: 12 Niches Amazon FBA à Fort Potentiel
Lancez-vous sur Amazon FBA grâce à cette liste de 12 niches rentables que je lancerais moi-même si j'avais plus de temps.

© 2025 Oseille TV. Tous droits réservés
Ebook Gratuit: 12 Niches Amazon FBA à Fort Potentiel
Lancez-vous sur Amazon FBA grâce à cette liste de 12 niches rentables que je lancerais moi-même si j'avais plus de temps.

© 2025 Oseille TV. Tous droits réservés
Ebook Gratuit: 12 Niches Amazon FBA à Fort Potentiel
Lancez-vous sur Amazon FBA grâce à cette liste de 12 niches rentables que je lancerais moi-même si j'avais plus de temps.

© 2025 Oseille TV. Tous droits réservés







