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Mindset
Pourquoi les millionnaires continuent-ils à travailler ? 6 raisons surprenantes !
Devenir millionnaire offre des possibilités immenses, mais cela ne signifie pas toujours la fin du travail. Beaucoup choisissent de poursuivre leurs activités professionnelles malgré une sécurité financière totale. Cet article explore les différentes raisons qui motivent les millionnaires à continuer à travailler, au-delà du simple aspect financier.
Devenir millionnaire offre des possibilités immenses, mais cela ne signifie pas toujours la fin du travail. Beaucoup choisissent de poursuivre leurs activités professionnelles malgré une sécurité financière totale. Cet article explore les différentes raisons qui motivent les millionnaires à continuer à travailler, au-delà du simple aspect financier.
Julien Oseille TV
CEO
PUBLIÉ
25 sept. 2024
Points clés de l'article :
Compétition et le besoin de réussir : La recherche de nouveaux défis et de l'atteinte de paliers financiers plus élevés.
Peur de manquer : L'anxiété liée à la possibilité de perdre une partie de sa fortune ou de ne pas en avoir assez.
Identité personnelle : Pour certains, leur succès professionnel est intrinsèquement lié à leur identité et à leur sens de l'accomplissement.
Responsabilité envers les autres : Les collaborateurs dépendent souvent de la réussite continue du millionnaire.
Addiction au succès : Le besoin de continuer à créer de la richesse est parfois une addiction comparable à d'autres formes de dépendances.
Introduction
Il y a quelques semaines, une question est revenue souvent lors de ma session FAQ : pourquoi je continue à travailler alors que j'ai plus de 10 millions de dollars ? Beaucoup pensent qu'une fois ce niveau de richesse atteint, il serait logique de tout arrêter. En effet, même si mes business cessaient demain, mes investissements continueraient à générer plus de 500 000 dollars par an, alors que mes dépenses se situent autour de 200 000 dollars. Il me resterait donc 300 000 dollars de surplus chaque année, et tous les trois ans, cela représente un million de plus à ajouter à mon patrimoine.
Si l'on s'en tient à cette logique, il semble inutile de continuer à travailler. Pourtant, je poursuis mes activités, et je ne suis pas le seul dans ce cas. Pourquoi ? Dans cet article, je vais partager avec vous les raisons qui poussent certaines personnes déjà millionnaires à ne pas prendre leur retraite, des raisons personnelles, mais aussi des éléments que j'ai observés chez d'autres personnes autour de moi.
La compétition et le besoin de réussir
L'une des raisons principales pour lesquelles on continue à travailler, c'est la compétition et le fait de toujours vouloir atteindre de nouveaux paliers. Quand on commence à accumuler de l'argent, il y a un aspect un peu "scoring" qui entre en jeu. On se fixe des objectifs : 5 millions, 10 millions, 20 millions, et on veut les atteindre. C'est un peu lié à l'ego, il faut être honnête. Ces paliers deviennent des marques de réussite, même si en réalité, ils ne changent pas fondamentalement notre mode de vie.
Les premiers millions ont un impact majeur. Par exemple, passer de 1 à 10 millions transforme vraiment la manière dont on vit, ce qu'on peut se permettre, et les expériences qu'on peut s'offrir. Mais au-delà de 10 millions, les différences sont moins marquées. Avoir 30 ou 50 millions permet d'accéder à quelques plaisirs supplémentaires, mais la qualité de vie ne change pas autant qu'entre 1 et 10 millions.
Je me suis souvent posé la question : pourquoi continuer à vouloir atteindre ces montants alors qu'ils n'apportent pas tant de changements ? Je crois que c'est en partie un concours où il est facile de se perdre. Vouloir constamment "peser" plus devient un jeu sans fin, où il y aura toujours quelqu'un de plus riche. Si l'on se laisse happer par cette course, on risque de finir malheureux. Personnellement, je suis arrivé à un stade où j'ai atteint des paliers qui me conviennent et je n'ai plus grand-chose à prouver. Bien sûr, je ne refuse pas l'idée de gagner davantage, mais cette envie d'atteindre des chiffres précis ne me motive plus autant qu'avant.
Un autre point à prendre en compte, c'est que même si je ne faisais plus rien, mon capital continuerait à croître avec les intérêts composés. Par exemple, avec les investissements que j'ai, si je ne touchais plus à rien, je pourrais tout de même atteindre les 100 millions en fin de vie. Si vous faites le calcul avec un outil comme celui de Marc BluerSky, qui intègre l'inflation et d'autres facteurs, vous verrez que c'est inévitable. Donc, la recherche de ces paliers financiers n'est plus une raison majeure pour moi de continuer à travailler. Je vais m'enrichir malgré moi.
Cela dit, je sais que pour beaucoup de gens, ces chiffres restent importants. Certains se fixent comme objectif d'atteindre les 100 millions ou même le milliard. Mais pour moi, une fois qu'on a assez pour profiter de la vie et se faire plaisir, ces montants deviennent moins essentiels.
Peur de manquer : une crainte omniprésente
Une autre raison pour laquelle je continue à travailler, c'est la peur de manquer, ou pire, de tout perdre. Cette crainte est souvent liée à notre parcours de vie. Beaucoup de personnes qui viennent d'un milieu modeste ressentent un besoin constant d'accumuler des richesses pour combler les manques qu'elles ont connus dans leur jeunesse. Même après avoir amassé une fortune confortable, ce sentiment persiste.
Personnellement, bien que je sois issu en partie d'un milieu modeste, j'ai grandi en HLM après la séparation de mes parents, je n'ai jamais eu cette sensation de manque. Ma mère, qui m'a élevé, a toujours été très généreuse, peut-être même plus que mon père. J'ai eu tout ce dont j'avais besoin, et donc cette peur de manquer n'est pas quelque chose qui me pousse particulièrement à gagner plus d'argent.
En revanche, la peur de tout perdre est bien présente. Cela vient probablement des expériences vécues dans ma famille. Mon grand-père, qui reste ma plus grande source d'inspiration dans les affaires, a presque perdu toute sa fortune à deux reprises. Ses histoires m'ont marqué profondément. En plus de cela, à mesure que j'ai accumulé du capital, j'ai acquis une meilleure compréhension du monde financier. Je me rends compte qu'il y a de nombreux obstacles qui peuvent vous faire perdre une partie de votre patrimoine : l'inflation, les régulations, les procès, les divorces, et même des événements plus graves comme des guerres ou des crises économiques. Tout cela est réel, et il est naïf de croire qu'on est à l'abri.
Pour se protéger de ces risques, il faut diversifier ses actifs, géographiquement et en termes de classes d'investissement. C'est une sorte de précaution qui, je l'espère, ne sera jamais nécessaire, mais qui apporte une certaine tranquillité d'esprit. Ce besoin de sécurité pousse beaucoup de millionnaires à continuer à accumuler des richesses, même s'ils ont déjà bien plus que ce dont ils auraient besoin dans un monde sans risques.
Cette accumulation peut sembler excessive, mais elle est en réalité une manière de se prémunir contre les aléas de la vie. Même dans des groupes Reddit, qui rassemble des personnes ayant entre 5 et 30 millions de dollars, on voit régulièrement des discussions sur la peur de ne pas en avoir assez. Certains millionnaires se demandent s'ils auront suffisamment pour leurs enfants, pour faire face aux imprévus, ou tout simplement pour se sentir en sécurité.
Cette crainte de manquer, ou de perdre une partie de sa fortune, est un moteur puissant, même quand elle est irrationnelle. On pourrait dire qu'il s'agit d'un traumatisme qui reste profondément ancré, malgré une situation financière largement assurée.
L'identité liée au succès professionnel
Parmi les autres raisons importantes pour lesquelles je continue à travailler, c'est que mon succès est directement lié à mon identité. Ce que j'ai construit au fil des années, mes entreprises, mes activités, tout cela fait partie de qui je suis. Avec l'exposition que j'ai sur YouTube, cette dimension est encore plus amplifiée. Les gens me voient comme quelqu'un qui réussit dans les affaires, et ça finit par devenir une partie intégrante de mon image, à la fois pour moi-même et pour les autres.
Cela peut paraître prétentieux, mais c'est une réalité que beaucoup de personnes dans ma situation partagent. Quand on arrête soudainement, même avec des millions en banque, on a l'impression de ne plus exister, ou du moins de ne plus avoir la même importance. Ce sentiment est bien documenté : plus d'un tiers des dirigeants qui vendent leur entreprise tombent en dépression après coup, car ils se retrouvent sans projet, sans cette activité qui donnait un sens à leur quotidien. Cela m'est déjà arrivé lorsque j'ai vendu ma première affaire au Maroc.
Pour ceux qui ne connaissent pas mon histoire, j'ai démarré mon parcours en ouvrant des maisons d'hôtes à Marrakech. Après cinq ans d'activité, j'ai fini par vendre ma principale affaire ainsi que toutes les maisons que je gérais. Du jour au lendemain, je suis passé de "Monsieur Julien", avec 25 employés, 8 maisons d'hôtes, et des dizaines de clients à gérer en permanence, à "Julien", sans cette responsabilité, sans ce statut qui me suivait partout.
À Marrakech, je connaissais presque tout le monde dans les endroits où j'allais régulièrement, et j'étais bien accueilli parce que je représentais un portefeuille de clients important. Quand j'ai vendu, j'ai perdu ce statut du jour au lendemain. Ce fut un changement brutal. Heureusement, par la suite, j'ai lancé mon business sur Amazon, ma chaîne YouTube, ainsi que d'autres projets comme les SaaS que je développe aujourd'hui. Mais cette transition n'a pas été facile.
Je sais que cette perte d'identité est un problème pour beaucoup de personnes qui connaissent une grande réussite. Le succès devient une partie de soi, et l'idée de s'arrêter fait peur, car elle laisse un vide difficile à combler. C'est aussi pour cette raison que je continue à développer de nouvelles activités. Tant que je fais quelque chose qui me stimule intellectuellement et qui me permet de me sentir utile, je me sens bien.
Je pense que beaucoup de gens qui n'ont pas encore atteint un certain niveau de succès fantasment sur le fait de tout arrêter une fois qu'ils ont assez d'argent. Mais la réalité, c'est que si votre travail fait partie de votre identité, vous ne pouvez pas simplement tout lâcher sans en ressentir les conséquences. C'est ce qui explique pourquoi tant de personnes, malgré leur fortune, continuent à travailler, à créer, et à se lancer dans de nouveaux projets.
Sens des responsabilités : une source de motivation
Ce qu'on oublie souvent, c'est que derrière chaque business, il y a des personnes qui dépendent directement ou indirectement de son succès. Dans mon cas, il y a une vingtaine de personnes qui gravitent autour de moi, que ce soit des collaborateurs réguliers ou des prestataires ponctuels. Si je décidais de tout arrêter, cela aurait un impact sur leur vie. Cette responsabilité est une des raisons pour lesquelles je continue à travailler.
Par exemple, rien que pour la production de mes vidéos, il y a toute une chaîne de personnes impliquées : je loue le studio à deux personnes, j'ai un monteur vidéo, un créateur de miniatures, et Sofiane, qui vérifie que tout est optimisé avant la publication et s'occupe du support ainsi que des commentaires. Chacune de mes vidéos génère du travail et des revenus pour plusieurs personnes. À l'échelle de mes autres business, c'est la même chose : chaque projet implique une équipe.
Au-delà de l'aspect professionnel, il y a aussi une dimension plus personnelle. Certains de mes collaborateurs sont devenus des amis proches. C’est le cas de Loïc, mon premier assistant sur Oseille TV. Aujourd'hui, il est devenu mon associé sur les SaaS que je développe, comme Podly. Nous avons construit une relation de confiance au fil des années, et je me suis fixé comme mission de l’aider à devenir millionnaire à son tour. J'ai investi dans plusieurs de nos projets ensemble, non pas parce que j'en ai besoin, mais parce que je veux l'aider à atteindre ses propres objectifs.
Je pourrais très bien me contenter de ce que j'ai, mais cette responsabilité envers mes collaborateurs et amis me pousse à continuer. Avoir un impact positif sur leur vie et les voir réussir à travers ce que nous construisons ensemble est une grande source de motivation pour moi.
Il y a aussi ceux qui bénéficient de mon contenu, que ce soit à travers mes vidéos ou mes formations. J'ai rencontré plusieurs personnes lors de mes voyages qui m'ont raconté à quel point mes conseils avaient changé leur vie. Par exemple, lors d'un séjour à Bangkok, un homme est venu me voir dans une salle de sport pour me remercier, car il séjournait dans un hôtel 5 étoiles après avoir suivi ma formation.Un autre au Paraguay m'a dit qu'il avait déménagé là-bas après avoir vu une de mes interviews. Ces histoires sont des exemples concrets de l'impact que je peux avoir, et elles me rappellent pourquoi il est important de continuer.
L'addiction au succès
L'argent et le succès peuvent devenir une véritable addiction. Certains sont accros à la drogue, d'autres à l'alcool ou aux jeux vidéo. Pour moi, et pour beaucoup d'autres qui ont accumulé une grande fortune, c'est l'argent qui devient une addiction. Depuis tout jeune, j'ai été fasciné par l'argent. Quand je recevais mes petits billets de 50 ou 100 francs, je courais les déposer sur mon livret A. Ceux qui sont nés dans les années 90 se souviendront de ce petit livret jaune à La Poste où l'on passait dans une machine pour voir le montant actualisé.
L'argent a toujours été une partie de ma vie. Mon père était antiquaire, et depuis l'âge de 6 ou 7 ans, j'ai toujours trouvé des moyens de gagner de l'argent, que ce soit en aidant mon père sur les foires ou en ouvrant son magasin. C'est devenu une sorte d'addiction, et comme toutes les addictions, elle peut avoir des effets sur la santé. Il y a quelques années, j'avais atteint un niveau de succès incroyable pendant le Covid, mais lorsque mes revenus ont légèrement baissé, passant sous la barre symbolique des 100 000 euros de profit mensuel, j'ai développé du psoriasis sur mes jambes. Ce n'était pas dramatique, mais c'était une preuve que cette addiction à l'argent et au succès peut avoir un impact physique.
Aujourd'hui, je suis plus apaisé sur ces aspects, mais il est clair que cette addiction au succès est profondément ancrée en moi. Et je ne suis pas le seul. Beaucoup de personnes continuent à travailler et à accumuler des richesses non pas parce qu’elles en ont besoin, mais parce que cela leur procure un certain plaisir, une satisfaction. C’est une forme de validation, une preuve que l’on a encore de la valeur à apporter.
Pour moi, arrêter de faire tourner mes business reviendrait à manquer de respect à l’argent que je génère. J'ai toujours eu cette mentalité d’économiser, d’investir et de maximiser la valeur de chaque euro.
Cette addiction au succès est donc l'une des raisons pour lesquelles je continue à travailler. C’est un moteur puissant, qui peut parfois être aussi intense qu’une dépendance à une drogue, et qui me pousse à en vouloir toujours plus, même si, en réalité, j’ai déjà bien plus que ce qu’il me faudrait pour vivre confortablement.
Que faire à la place ?
L'une des grandes questions qui se posent quand on a atteint un certain niveau de fortune, c’est : qu'est-ce que je ferais à la place si j'arrêtais tout ? Cette réflexion a été particulièrement marquante pour moi en début d'année, au point de me plonger dans une légère dépression. Quand on dépasse certains paliers financiers et que chaque million supplémentaire n’apporte plus vraiment de changements à sa vie, on se demande naturellement : "Et après ?"
Beaucoup imaginent qu'avec une certaine somme d'argent, il suffit de se détendre sur une plage, un cocktail à la main, et de profiter de la vie. Mais en réalité, cette idée ne me correspond pas du tout. Personnellement, rester sur un transat à ne rien faire me rendrait fou. J'ai besoin de m'occuper, de créer, d'innover.
J’ai donc commencé à me demander : qu’est-ce que je pourrais bien faire d’autre ? Après tout, depuis mon plus jeune âge, je n'ai fait que ça, créer des business et générer des revenus. Peu importe ce que je fais, je finirai toujours par trouver une façon de générer de l’argent. Si demain je me lançais dans le jardinage, vous me verriez sans doute créer une chaîne YouTube sur le sujet, ou je finirais par cultiver une espèce rare de plante que je pourrais vendre à prix d’or en Asie. C’est ma nature, et c’est ainsi que je fonctionne. Tant que j’aime ce que je fais et que cela me permet de rester actif, je continue. Arrêter n’est tout simplement pas une option pour moi.
J'ai 35 ans, et il me reste potentiellement encore 55 ou 65 ans à vivre. Qu'est-ce que je vais faire de tout ce temps si je ne continue pas à développer des projets ? Pour l’instant, je n’ai rien trouvé qui me procure autant de satisfaction que de créer des business et de voir les résultats de mes efforts. Tant que je n’ai pas trouvé une autre activité qui me passionne autant (sans pour autant la monétiser), je continuerai à travailler et à construire de nouveaux projets.
Beaucoup de gens fantasment sur l’idée de tout arrêter une fois qu’ils auront atteint un certain niveau de richesse. Mais la réalité est souvent différente. Quand on a passé toute sa vie à bâtir quelque chose, il est très difficile de tout arrêter, même quand l’argent n’est plus un souci. Pour moi, tant que je n'ai pas trouvé une activité qui m’apporte autant de satisfaction que de développer des business, je n'ai aucune raison de m’arrêter. Le jour où je trouve une autre passion qui me remplit autant, peut-être que je changerai.
Conclusion
En résumé, continuer à travailler après avoir atteint une fortune confortable repose sur des motivations qui vont bien au-delà de l’argent. Que ce soit pour le défi de la compétition, la peur de manquer, le besoin d’accomplissement lié à son identité, l’addiction au succès ou encore la responsabilité envers ceux qui dépendent de nous, chaque raison est profondément personnelle.
Cet exercice m’a permis de prendre du recul sur mes propres motivations et sur celles des personnes qui, comme moi, continuent à travailler malgré une sécurité financière totale. J’espère que cela répond à la question que beaucoup se posaient sous ma vidéo FAQ.
Ce qu’il faut retenir, c’est que pour générer ses premiers millions, il faut un « pourquoi » fort, quelque chose qui vous pousse à avancer. Et pour s’arrêter, il faut également avoir un « pourquoi » encore plus puissant, une raison qui vous fait vibrer plus que l’accumulation de l’argent. Pour l’instant, je n’ai pas encore trouvé cette raison, donc vous allez continuer à me voir sur YouTube et dans mes projets pour un bon moment !
Si vous êtes intéressés par le fait d'aller encore plus loin que le contenu disponible sur ma chaîne YouTube, je vous propose mes formations, avec du contenu vidéo exclusif et avancé, ainsi que des groupes d’échange où des professionnels s'entraident chaque jour pour progresser. Toutes les informations sont disponibles en cliquant ici.
FAQ
Pourquoi un millionnaire continue-t-il à travailler ?
Les millionnaires continuent à travailler pour diverses raisons, telles que le besoin de défis, la peur de manquer d'argent, ou encore la volonté de maintenir leur identité liée au succès professionnel.
La compétition est-elle une raison valable pour accumuler plus de richesse ?
Oui, pour certains, la compétition financière et le besoin d'atteindre des paliers plus élevés sont une grande source de motivation, même si cela ne change pas radicalement leur niveau de vie.
Comment la peur de manquer affecte-t-elle les millionnaires ?
Malgré leur richesse, de nombreux millionnaires craignent de perdre une partie ou la totalité de leur fortune. Cette peur peut les pousser à diversifier leurs actifs et à continuer à accumuler des richesses.
Pourquoi l'identité personnelle est-elle liée au succès financier ?
Pour de nombreux entrepreneurs, leur réussite professionnelle est au cœur de leur identité. Arrêter de travailler pourrait signifier une perte de statut et un sentiment de vide personnel.
Travailler après avoir atteint la liberté financière est-il une forme d'addiction ?
Pour certains millionnaires, continuer à accumuler des richesses devient une addiction, similaire à d'autres dépendances. Ils trouvent dans leur succès financier une source d'excitation constante.
Points clés de l'article :
Compétition et le besoin de réussir : La recherche de nouveaux défis et de l'atteinte de paliers financiers plus élevés.
Peur de manquer : L'anxiété liée à la possibilité de perdre une partie de sa fortune ou de ne pas en avoir assez.
Identité personnelle : Pour certains, leur succès professionnel est intrinsèquement lié à leur identité et à leur sens de l'accomplissement.
Responsabilité envers les autres : Les collaborateurs dépendent souvent de la réussite continue du millionnaire.
Addiction au succès : Le besoin de continuer à créer de la richesse est parfois une addiction comparable à d'autres formes de dépendances.
Introduction
Il y a quelques semaines, une question est revenue souvent lors de ma session FAQ : pourquoi je continue à travailler alors que j'ai plus de 10 millions de dollars ? Beaucoup pensent qu'une fois ce niveau de richesse atteint, il serait logique de tout arrêter. En effet, même si mes business cessaient demain, mes investissements continueraient à générer plus de 500 000 dollars par an, alors que mes dépenses se situent autour de 200 000 dollars. Il me resterait donc 300 000 dollars de surplus chaque année, et tous les trois ans, cela représente un million de plus à ajouter à mon patrimoine.
Si l'on s'en tient à cette logique, il semble inutile de continuer à travailler. Pourtant, je poursuis mes activités, et je ne suis pas le seul dans ce cas. Pourquoi ? Dans cet article, je vais partager avec vous les raisons qui poussent certaines personnes déjà millionnaires à ne pas prendre leur retraite, des raisons personnelles, mais aussi des éléments que j'ai observés chez d'autres personnes autour de moi.
La compétition et le besoin de réussir
L'une des raisons principales pour lesquelles on continue à travailler, c'est la compétition et le fait de toujours vouloir atteindre de nouveaux paliers. Quand on commence à accumuler de l'argent, il y a un aspect un peu "scoring" qui entre en jeu. On se fixe des objectifs : 5 millions, 10 millions, 20 millions, et on veut les atteindre. C'est un peu lié à l'ego, il faut être honnête. Ces paliers deviennent des marques de réussite, même si en réalité, ils ne changent pas fondamentalement notre mode de vie.
Les premiers millions ont un impact majeur. Par exemple, passer de 1 à 10 millions transforme vraiment la manière dont on vit, ce qu'on peut se permettre, et les expériences qu'on peut s'offrir. Mais au-delà de 10 millions, les différences sont moins marquées. Avoir 30 ou 50 millions permet d'accéder à quelques plaisirs supplémentaires, mais la qualité de vie ne change pas autant qu'entre 1 et 10 millions.
Je me suis souvent posé la question : pourquoi continuer à vouloir atteindre ces montants alors qu'ils n'apportent pas tant de changements ? Je crois que c'est en partie un concours où il est facile de se perdre. Vouloir constamment "peser" plus devient un jeu sans fin, où il y aura toujours quelqu'un de plus riche. Si l'on se laisse happer par cette course, on risque de finir malheureux. Personnellement, je suis arrivé à un stade où j'ai atteint des paliers qui me conviennent et je n'ai plus grand-chose à prouver. Bien sûr, je ne refuse pas l'idée de gagner davantage, mais cette envie d'atteindre des chiffres précis ne me motive plus autant qu'avant.
Un autre point à prendre en compte, c'est que même si je ne faisais plus rien, mon capital continuerait à croître avec les intérêts composés. Par exemple, avec les investissements que j'ai, si je ne touchais plus à rien, je pourrais tout de même atteindre les 100 millions en fin de vie. Si vous faites le calcul avec un outil comme celui de Marc BluerSky, qui intègre l'inflation et d'autres facteurs, vous verrez que c'est inévitable. Donc, la recherche de ces paliers financiers n'est plus une raison majeure pour moi de continuer à travailler. Je vais m'enrichir malgré moi.
Cela dit, je sais que pour beaucoup de gens, ces chiffres restent importants. Certains se fixent comme objectif d'atteindre les 100 millions ou même le milliard. Mais pour moi, une fois qu'on a assez pour profiter de la vie et se faire plaisir, ces montants deviennent moins essentiels.
Peur de manquer : une crainte omniprésente
Une autre raison pour laquelle je continue à travailler, c'est la peur de manquer, ou pire, de tout perdre. Cette crainte est souvent liée à notre parcours de vie. Beaucoup de personnes qui viennent d'un milieu modeste ressentent un besoin constant d'accumuler des richesses pour combler les manques qu'elles ont connus dans leur jeunesse. Même après avoir amassé une fortune confortable, ce sentiment persiste.
Personnellement, bien que je sois issu en partie d'un milieu modeste, j'ai grandi en HLM après la séparation de mes parents, je n'ai jamais eu cette sensation de manque. Ma mère, qui m'a élevé, a toujours été très généreuse, peut-être même plus que mon père. J'ai eu tout ce dont j'avais besoin, et donc cette peur de manquer n'est pas quelque chose qui me pousse particulièrement à gagner plus d'argent.
En revanche, la peur de tout perdre est bien présente. Cela vient probablement des expériences vécues dans ma famille. Mon grand-père, qui reste ma plus grande source d'inspiration dans les affaires, a presque perdu toute sa fortune à deux reprises. Ses histoires m'ont marqué profondément. En plus de cela, à mesure que j'ai accumulé du capital, j'ai acquis une meilleure compréhension du monde financier. Je me rends compte qu'il y a de nombreux obstacles qui peuvent vous faire perdre une partie de votre patrimoine : l'inflation, les régulations, les procès, les divorces, et même des événements plus graves comme des guerres ou des crises économiques. Tout cela est réel, et il est naïf de croire qu'on est à l'abri.
Pour se protéger de ces risques, il faut diversifier ses actifs, géographiquement et en termes de classes d'investissement. C'est une sorte de précaution qui, je l'espère, ne sera jamais nécessaire, mais qui apporte une certaine tranquillité d'esprit. Ce besoin de sécurité pousse beaucoup de millionnaires à continuer à accumuler des richesses, même s'ils ont déjà bien plus que ce dont ils auraient besoin dans un monde sans risques.
Cette accumulation peut sembler excessive, mais elle est en réalité une manière de se prémunir contre les aléas de la vie. Même dans des groupes Reddit, qui rassemble des personnes ayant entre 5 et 30 millions de dollars, on voit régulièrement des discussions sur la peur de ne pas en avoir assez. Certains millionnaires se demandent s'ils auront suffisamment pour leurs enfants, pour faire face aux imprévus, ou tout simplement pour se sentir en sécurité.
Cette crainte de manquer, ou de perdre une partie de sa fortune, est un moteur puissant, même quand elle est irrationnelle. On pourrait dire qu'il s'agit d'un traumatisme qui reste profondément ancré, malgré une situation financière largement assurée.
L'identité liée au succès professionnel
Parmi les autres raisons importantes pour lesquelles je continue à travailler, c'est que mon succès est directement lié à mon identité. Ce que j'ai construit au fil des années, mes entreprises, mes activités, tout cela fait partie de qui je suis. Avec l'exposition que j'ai sur YouTube, cette dimension est encore plus amplifiée. Les gens me voient comme quelqu'un qui réussit dans les affaires, et ça finit par devenir une partie intégrante de mon image, à la fois pour moi-même et pour les autres.
Cela peut paraître prétentieux, mais c'est une réalité que beaucoup de personnes dans ma situation partagent. Quand on arrête soudainement, même avec des millions en banque, on a l'impression de ne plus exister, ou du moins de ne plus avoir la même importance. Ce sentiment est bien documenté : plus d'un tiers des dirigeants qui vendent leur entreprise tombent en dépression après coup, car ils se retrouvent sans projet, sans cette activité qui donnait un sens à leur quotidien. Cela m'est déjà arrivé lorsque j'ai vendu ma première affaire au Maroc.
Pour ceux qui ne connaissent pas mon histoire, j'ai démarré mon parcours en ouvrant des maisons d'hôtes à Marrakech. Après cinq ans d'activité, j'ai fini par vendre ma principale affaire ainsi que toutes les maisons que je gérais. Du jour au lendemain, je suis passé de "Monsieur Julien", avec 25 employés, 8 maisons d'hôtes, et des dizaines de clients à gérer en permanence, à "Julien", sans cette responsabilité, sans ce statut qui me suivait partout.
À Marrakech, je connaissais presque tout le monde dans les endroits où j'allais régulièrement, et j'étais bien accueilli parce que je représentais un portefeuille de clients important. Quand j'ai vendu, j'ai perdu ce statut du jour au lendemain. Ce fut un changement brutal. Heureusement, par la suite, j'ai lancé mon business sur Amazon, ma chaîne YouTube, ainsi que d'autres projets comme les SaaS que je développe aujourd'hui. Mais cette transition n'a pas été facile.
Je sais que cette perte d'identité est un problème pour beaucoup de personnes qui connaissent une grande réussite. Le succès devient une partie de soi, et l'idée de s'arrêter fait peur, car elle laisse un vide difficile à combler. C'est aussi pour cette raison que je continue à développer de nouvelles activités. Tant que je fais quelque chose qui me stimule intellectuellement et qui me permet de me sentir utile, je me sens bien.
Je pense que beaucoup de gens qui n'ont pas encore atteint un certain niveau de succès fantasment sur le fait de tout arrêter une fois qu'ils ont assez d'argent. Mais la réalité, c'est que si votre travail fait partie de votre identité, vous ne pouvez pas simplement tout lâcher sans en ressentir les conséquences. C'est ce qui explique pourquoi tant de personnes, malgré leur fortune, continuent à travailler, à créer, et à se lancer dans de nouveaux projets.
Sens des responsabilités : une source de motivation
Ce qu'on oublie souvent, c'est que derrière chaque business, il y a des personnes qui dépendent directement ou indirectement de son succès. Dans mon cas, il y a une vingtaine de personnes qui gravitent autour de moi, que ce soit des collaborateurs réguliers ou des prestataires ponctuels. Si je décidais de tout arrêter, cela aurait un impact sur leur vie. Cette responsabilité est une des raisons pour lesquelles je continue à travailler.
Par exemple, rien que pour la production de mes vidéos, il y a toute une chaîne de personnes impliquées : je loue le studio à deux personnes, j'ai un monteur vidéo, un créateur de miniatures, et Sofiane, qui vérifie que tout est optimisé avant la publication et s'occupe du support ainsi que des commentaires. Chacune de mes vidéos génère du travail et des revenus pour plusieurs personnes. À l'échelle de mes autres business, c'est la même chose : chaque projet implique une équipe.
Au-delà de l'aspect professionnel, il y a aussi une dimension plus personnelle. Certains de mes collaborateurs sont devenus des amis proches. C’est le cas de Loïc, mon premier assistant sur Oseille TV. Aujourd'hui, il est devenu mon associé sur les SaaS que je développe, comme Podly. Nous avons construit une relation de confiance au fil des années, et je me suis fixé comme mission de l’aider à devenir millionnaire à son tour. J'ai investi dans plusieurs de nos projets ensemble, non pas parce que j'en ai besoin, mais parce que je veux l'aider à atteindre ses propres objectifs.
Je pourrais très bien me contenter de ce que j'ai, mais cette responsabilité envers mes collaborateurs et amis me pousse à continuer. Avoir un impact positif sur leur vie et les voir réussir à travers ce que nous construisons ensemble est une grande source de motivation pour moi.
Il y a aussi ceux qui bénéficient de mon contenu, que ce soit à travers mes vidéos ou mes formations. J'ai rencontré plusieurs personnes lors de mes voyages qui m'ont raconté à quel point mes conseils avaient changé leur vie. Par exemple, lors d'un séjour à Bangkok, un homme est venu me voir dans une salle de sport pour me remercier, car il séjournait dans un hôtel 5 étoiles après avoir suivi ma formation.Un autre au Paraguay m'a dit qu'il avait déménagé là-bas après avoir vu une de mes interviews. Ces histoires sont des exemples concrets de l'impact que je peux avoir, et elles me rappellent pourquoi il est important de continuer.
L'addiction au succès
L'argent et le succès peuvent devenir une véritable addiction. Certains sont accros à la drogue, d'autres à l'alcool ou aux jeux vidéo. Pour moi, et pour beaucoup d'autres qui ont accumulé une grande fortune, c'est l'argent qui devient une addiction. Depuis tout jeune, j'ai été fasciné par l'argent. Quand je recevais mes petits billets de 50 ou 100 francs, je courais les déposer sur mon livret A. Ceux qui sont nés dans les années 90 se souviendront de ce petit livret jaune à La Poste où l'on passait dans une machine pour voir le montant actualisé.
L'argent a toujours été une partie de ma vie. Mon père était antiquaire, et depuis l'âge de 6 ou 7 ans, j'ai toujours trouvé des moyens de gagner de l'argent, que ce soit en aidant mon père sur les foires ou en ouvrant son magasin. C'est devenu une sorte d'addiction, et comme toutes les addictions, elle peut avoir des effets sur la santé. Il y a quelques années, j'avais atteint un niveau de succès incroyable pendant le Covid, mais lorsque mes revenus ont légèrement baissé, passant sous la barre symbolique des 100 000 euros de profit mensuel, j'ai développé du psoriasis sur mes jambes. Ce n'était pas dramatique, mais c'était une preuve que cette addiction à l'argent et au succès peut avoir un impact physique.
Aujourd'hui, je suis plus apaisé sur ces aspects, mais il est clair que cette addiction au succès est profondément ancrée en moi. Et je ne suis pas le seul. Beaucoup de personnes continuent à travailler et à accumuler des richesses non pas parce qu’elles en ont besoin, mais parce que cela leur procure un certain plaisir, une satisfaction. C’est une forme de validation, une preuve que l’on a encore de la valeur à apporter.
Pour moi, arrêter de faire tourner mes business reviendrait à manquer de respect à l’argent que je génère. J'ai toujours eu cette mentalité d’économiser, d’investir et de maximiser la valeur de chaque euro.
Cette addiction au succès est donc l'une des raisons pour lesquelles je continue à travailler. C’est un moteur puissant, qui peut parfois être aussi intense qu’une dépendance à une drogue, et qui me pousse à en vouloir toujours plus, même si, en réalité, j’ai déjà bien plus que ce qu’il me faudrait pour vivre confortablement.
Que faire à la place ?
L'une des grandes questions qui se posent quand on a atteint un certain niveau de fortune, c’est : qu'est-ce que je ferais à la place si j'arrêtais tout ? Cette réflexion a été particulièrement marquante pour moi en début d'année, au point de me plonger dans une légère dépression. Quand on dépasse certains paliers financiers et que chaque million supplémentaire n’apporte plus vraiment de changements à sa vie, on se demande naturellement : "Et après ?"
Beaucoup imaginent qu'avec une certaine somme d'argent, il suffit de se détendre sur une plage, un cocktail à la main, et de profiter de la vie. Mais en réalité, cette idée ne me correspond pas du tout. Personnellement, rester sur un transat à ne rien faire me rendrait fou. J'ai besoin de m'occuper, de créer, d'innover.
J’ai donc commencé à me demander : qu’est-ce que je pourrais bien faire d’autre ? Après tout, depuis mon plus jeune âge, je n'ai fait que ça, créer des business et générer des revenus. Peu importe ce que je fais, je finirai toujours par trouver une façon de générer de l’argent. Si demain je me lançais dans le jardinage, vous me verriez sans doute créer une chaîne YouTube sur le sujet, ou je finirais par cultiver une espèce rare de plante que je pourrais vendre à prix d’or en Asie. C’est ma nature, et c’est ainsi que je fonctionne. Tant que j’aime ce que je fais et que cela me permet de rester actif, je continue. Arrêter n’est tout simplement pas une option pour moi.
J'ai 35 ans, et il me reste potentiellement encore 55 ou 65 ans à vivre. Qu'est-ce que je vais faire de tout ce temps si je ne continue pas à développer des projets ? Pour l’instant, je n’ai rien trouvé qui me procure autant de satisfaction que de créer des business et de voir les résultats de mes efforts. Tant que je n’ai pas trouvé une autre activité qui me passionne autant (sans pour autant la monétiser), je continuerai à travailler et à construire de nouveaux projets.
Beaucoup de gens fantasment sur l’idée de tout arrêter une fois qu’ils auront atteint un certain niveau de richesse. Mais la réalité est souvent différente. Quand on a passé toute sa vie à bâtir quelque chose, il est très difficile de tout arrêter, même quand l’argent n’est plus un souci. Pour moi, tant que je n'ai pas trouvé une activité qui m’apporte autant de satisfaction que de développer des business, je n'ai aucune raison de m’arrêter. Le jour où je trouve une autre passion qui me remplit autant, peut-être que je changerai.
Conclusion
En résumé, continuer à travailler après avoir atteint une fortune confortable repose sur des motivations qui vont bien au-delà de l’argent. Que ce soit pour le défi de la compétition, la peur de manquer, le besoin d’accomplissement lié à son identité, l’addiction au succès ou encore la responsabilité envers ceux qui dépendent de nous, chaque raison est profondément personnelle.
Cet exercice m’a permis de prendre du recul sur mes propres motivations et sur celles des personnes qui, comme moi, continuent à travailler malgré une sécurité financière totale. J’espère que cela répond à la question que beaucoup se posaient sous ma vidéo FAQ.
Ce qu’il faut retenir, c’est que pour générer ses premiers millions, il faut un « pourquoi » fort, quelque chose qui vous pousse à avancer. Et pour s’arrêter, il faut également avoir un « pourquoi » encore plus puissant, une raison qui vous fait vibrer plus que l’accumulation de l’argent. Pour l’instant, je n’ai pas encore trouvé cette raison, donc vous allez continuer à me voir sur YouTube et dans mes projets pour un bon moment !
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FAQ
Pourquoi un millionnaire continue-t-il à travailler ?
Les millionnaires continuent à travailler pour diverses raisons, telles que le besoin de défis, la peur de manquer d'argent, ou encore la volonté de maintenir leur identité liée au succès professionnel.
La compétition est-elle une raison valable pour accumuler plus de richesse ?
Oui, pour certains, la compétition financière et le besoin d'atteindre des paliers plus élevés sont une grande source de motivation, même si cela ne change pas radicalement leur niveau de vie.
Comment la peur de manquer affecte-t-elle les millionnaires ?
Malgré leur richesse, de nombreux millionnaires craignent de perdre une partie ou la totalité de leur fortune. Cette peur peut les pousser à diversifier leurs actifs et à continuer à accumuler des richesses.
Pourquoi l'identité personnelle est-elle liée au succès financier ?
Pour de nombreux entrepreneurs, leur réussite professionnelle est au cœur de leur identité. Arrêter de travailler pourrait signifier une perte de statut et un sentiment de vide personnel.
Travailler après avoir atteint la liberté financière est-il une forme d'addiction ?
Pour certains millionnaires, continuer à accumuler des richesses devient une addiction, similaire à d'autres dépendances. Ils trouvent dans leur succès financier une source d'excitation constante.
Auteur
Julien Oseille TV
CEO
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