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Business
Comment créer une chaîne YouTube rentable : les meilleures stratégies !
Créer une chaîne YouTube rentable : stratégies, fréquence, production, monétisation… tout ce qu’il faut maîtriser pour percer et générer des revenus durables.

Julien Oseille TV
CEO
PUBLIÉ
21 juil. 2025
Points clés de l'article :
Une ou plusieurs chaînes YouTube ? Avantages stratégiques de centraliser ou segmenter votre contenu en fonction de vos thématiques et audiences cibles.
Fréquence idéale de publication : Pourquoi le rythme de publication doit s’adapter à vos ressources, à l'algorithme et aux attentes de votre audience.
Créer une vidéo performante : Découvrez les astuces pour capter l’attention dès les premières secondes, optimiser les titres et miniatures, et maximiser l’engagement.
Produire efficacement : Équipements simples, processus de tournage minimaliste ou infrastructure avancée ? Quel modèle convient à votre stratégie YouTube.
Monétisation YouTube : Démystifiez les revenus AdSense et explorez les moyens de diversifier vos profits via votre chaîne.
Introduction
Lancer ou développer une chaîne YouTube amène forcément son lot de questions : faut‑il privilégier la qualité des vidéos ou la quantité ? À quelle fréquence publier pour maximiser ses vues ? Quel matériel choisir pour se lancer ?
Pour répondre à toutes ces interrogations, j’ai échangé avec Marc BluerSky, entrepreneur à la tête de plusieurs chaînes YouTube à succès, telles qu’Objectif-Renta ou La Chaîne de la Vérité.
Dans cet article, nous vous proposons un comparatif inédit entre deux visions radicalement opposées. Sur ma chaîne YouTube Oseille TV, je privilégie une production millimétrée, des vidéos travaillées en profondeur et le soutien d’une équipe dédiée. Quant à Marc, il mise sur la spontanéité : des vidéos brutes, publiées à un rythme soutenu.
Pourtant, malgré des méthodes très différentes, nos chaînes affichent des résultats étonnamment comparables.
Découvrez les coulisses de nos stratégies sur YouTube et faites le plein de conseils pour choisir la méthode qui vous correspond le mieux !
Faut-il créer une seule chaîne YouTube ou en gérer plusieurs ?

L’une des premières décisions pour se lancer ou structurer une activité sur YouTube, c’est de choisir entre une seule chaîne qui regroupe toutes vos thématiques ou plusieurs chaînes. Ce choix peut avoir un impact majeur sur votre audience, votre organisation et votre gestion du contenu.
Sur ma chaîne Oseille TV, j’ai fait le choix de tout centraliser. Pourquoi ? Parce que mon contenu tourne autour d’une thématique principale : l’argent. Que je parle d’expatriation, de fiscalité, d’investissement ou d’Amazon FBA, ces sujets restent cohérents et atteignent le même type d’audience. Cette approche me permet de regrouper l’autorité de ma chaîne et de ne pas disperser mes efforts, notamment pour le référencement de mes vidéos.
À l’inverse, Marc BluerSky a choisi la diversification. Il gère plusieurs chaînes bien distinctes. Par exemple, avec Objectif-Renta, il parle des investissements comme le crowdfunding et les ETF. Sur La Chaîne de la Vérité, il aborde des sujets totalement différents, plus libres, comme les expériences de vie ou des discussions sur l’expatriation. Il possède également d’autres chaînes annexes, comme BluerSky TV, où il publie des vidéos plus spécifiques, comme des vidéos exploratoires tournées dans des rues locales. Cette segmentation lui permet de traiter des thèmes incompatibles sans craindre de désorienter son audience principale ou de mettre en péril ses chaînes principales en cas de contenu à risque.
Les critères pour choisir
Si vous hésitez entre une chaîne unique ou plusieurs chaînes, voici quelques points à évaluer :
Votre thématique : Si vos sujets sont cohérents et complémentaires, regrouper le contenu peut aider à renforcer l’autorité de votre chaîne principale.
Votre audience : Si vous ciblez des publics très différents, opter pour plusieurs espaces distincts est souvent préférable.
Les risques liés au contenu : Si vous produisez des vidéos sensibles ou expérimentales, des chaînes secondaires permettent de limiter les impacts négatifs potentiels.
Votre capacité de production : Gérer plusieurs chaînes exige une organisation efficace, surtout pour alimenter régulièrement chacune d'elles.
Quelle est la fréquence idéale pour publier sur YouTube ?

Un autre facteur clé pour réussir sur YouTube est la fréquence de publication. Il s’agit de trouver un rythme adapté à vos capacités, mais aussi à votre stratégie de développement. Êtes-vous prêt à publier régulièrement ou préférez-vous miser sur des contenus plus espacés mais plus approfondis ?
De mon côté, sur Oseille TV, je publie environ 4 vidéos par mois. Ce n’est pas beaucoup, mais elles sont pensées pour durer dans le temps. Je privilégie des vidéos dites "evergreen", c’est-à-dire des contenus intemporels qui restent pertinents longtemps après leur publication.
À l’opposé, Marc BluerSky publie jusqu’à 45 vidéos par mois, toutes chaînes confondues ! Sur certaines de ses chaînes, comme La Chaîne de la Vérité, il peut publier une vidéo par jour. Cette cadence soutenue assure une visibilité constante et attire régulièrement de nouvelles audiences. Cependant, il reconnaît que ce rythme est parfois difficile à maintenir. Certaines vidéos fonctionnent très bien rapidement, tandis que d’autres nécessitent plus de temps pour trouver leur public.
En définitive, chaque approche présente ses avantages : l’important est de choisir une fréquence qui serve au mieux vos objectifs.
Comment concevoir une vidéo YouTube performante ?
Créer une vidéo réussie sur YouTube, c’est avant tout allier une bonne préparation et une capacité à captiver l’audience dès les premières secondes.

Trouver un sujet captivant
Tout commence par le choix du thème. Les vidéos peuvent répondre à un besoin auquel votre audience peut s’identifier, ou bien à une question posée en commentaire, à un sujet d’actualité ou à tout autre thème pertinent selon votre contenu.
De mon côté, je note toutes mes idées dans Dynalist, un outil qui me permet de planifier et d’organiser mes sujets sur le long terme. Parfois, une vidéo peut mûrir plusieurs semaines avant d’être finalisée.
Marc, lui, conserve une liste d’idées dans une Google Sheet et dispose déjà de plus de 400 idées disponibles, prêtes à être tournées. Cette méthode lui permet de produire rapidement sans qu'il ait à trop s’arrêter sur des détails, privilégiant ainsi la spontanéité et la réactivité.
Structurer efficacement
Pour garantir une vidéo fluide, j’utilise toujours des points clés. Cela évite à mes vidéos de s’éparpiller tout en laissant un certain naturel au discours. J’évite les répétitions et veille à ce que chaque point apporte une réelle valeur à ceux qui regardent, car je considère que leur temps est précieux. J’accorde aussi beaucoup d’importance à la recherche en amont, afin de proposer des informations solides et utiles dans un format capsule, généralement assez condensé.
Marc, lui aussi, prépare ses vidéos avec des points, mais il ne s’impose pas de structure rigide. Il privilégie la spontanéité et la liberté, sans se soucier particulièrement de la durée : ses vidéos peuvent donc être courtes ou beaucoup plus longues, selon l’inspiration du moment. Cette flexibilité s’aligne bien avec son style plus "brut", qui plaît à son audience, habituée à son côté naturel et authentique.
Soigner les 30 premières secondes
Une vidéo doit capter l’attention dans les premiers instants. Cela passe par un hook, une phrase d’accroche forte, ou un début direct qui annonce clairement ce que le spectateur va retirer de la vidéo. Je mets donc beaucoup d’efforts à optimiser cette phase critique pour minimiser les abandons.
Marc, lui, démarre souvent ses vidéos par des introductions plus libres, où il partage son environnement. Malgré cette approche moins conventionnelle, ses abonnés apprécient son authenticité, ce qui renforce leur fidélité.
Les piliers de la performance : le titre et la miniature
Sur YouTube, le succès d’une vidéo dépend en grande partie de la force du titre et de la miniature, qui incitent au clic et à la découverte.
Chacun a sa méthode : j’accorde une attention particulière à l’optimisation des titres et à la pertinence des miniatures, tandis que Marc privilégie la simplicité visuelle et des titres accrocheurs pour éveiller la curiosité de son audience.
Comment enregistrer efficacement une vidéo YouTube ?
La production d’une vidéo pour YouTube peut être abordée de différentes manières, selon vos ressources, vos objectifs et votre expérience. Ces deux approches montrent qu’il est tout à fait possible d’atteindre des résultats significatifs, quel que soit votre niveau d'investissement initial.

Le setup minimaliste
Lorsqu’il tourne ses vidéos, Marc utilise un matériel très simple : deux smartphones Samsung, un microphone DJI pour la réduction du bruit et généralement une lumière naturelle. Son objectif est de produire rapidement en un seul tournage, sans prise multiple. Cela lui permet de conserver une spontanéité et une authenticité qui plaisent à son audience. Une vidéo peut prendre 15 minutes seulement à enregistrer.
De mon côté, bien que j’aie moi aussi commencé avec un smartphone et des vidéos enregistrées seul, je recommande aux débutants de s’équiper au minimum d’un téléphone récent et d’un bon micro. Une lumière naturelle bien exposée peut également suffire pour obtenir une qualité correcte. Ce type de setup est parfait pour débuter sans s’encombrer d'équipements coûteux ou trop complexes.
Un setup avancé pour se professionnaliser
Aujourd’hui, mes tournages ont évolué avec du matériel beaucoup plus robuste et l'intervention d’une équipe. Selon les besoins, je collabore avec des studios podcast ou je fais venir des caméramans sur place, que ce soit chez moi ou lors de mes voyages. Ce système m’a permis de réduire mon temps de travail personnel tout en améliorant la qualité visuelle et sonore de mes vidéos. Par exemple, une vidéo classique peut me prendre entre 1h30 et 2h de tournage, contre plusieurs jours auparavant lorsque je réalisais tout moi-même.
Un équipement avancé, comme des caméras tournant en 4K, a également un impact non négligeable sur la qualité perçue. Pour ma part, des vidéos en 4K captent mieux l’attention des spectateurs et aident parfois à augmenter leur visibilité sur l’algorithme YouTube.
Comment monter et publier une vidéo YouTube ?
La post-production joue un rôle essentiel dans le rendu final d'une vidéo YouTube. Elle donne l’opportunité de peaufiner les images, d’harmoniser le son et de préparer le contenu à être publié de manière optimale. Mais là encore, nos styles diffèrent entre une approche simple et rapide, et une stratégie plus poussée avec plusieurs intervenants.

Le montage minimaliste
Pour Marc, la post-production est volontairement simplifiée à l’extrême. Il utilise CapCut, une application dans son téléphone qui lui permet de couper le début et la fin de ses vidéos, supprimer le bruit de fond et ajouter un petit habillage visuel (par exemple, un "like" ou un "share"). Une fois ce montage réalisé, il exporte sa vidéo en 1080p, une qualité tout à fait suffisante pour ses besoins. Cette approche lui permet de finaliser une vidéo complète en 15 minutes seulement.
Cette rapidité lui laisse le temps de publier plusieurs vidéos par jour lorsqu’il le souhaite, tout en évitant des coûts élevés liés au montage ou à un processus de travail complexe.
Un workflow optimisé avec une équipe
De mon côté, la post-production est plus élaborée et implique plusieurs intervenants. Une fois le tournage terminé, les fichiers bruts sont envoyés à mes monteurs. Ceux-ci réalisent le montage, puis déposent leur travail finalisé sur une plateforme de travail collaboratif comme Frame.io. Cet outil me permet de commenter directement sur les vidéos en ligne, d’ajuster les passages à modifier ou de donner des consignes sur les incrustations et habillages nécessaires.
Avant même que je ne donne ma validation, deux membres de mon équipe passent en revue le projet pour effectuer une première vérification des détails. Cette organisation m’économise énormément de temps tout en garantissant un résultat final de haute qualité.
Miniatures et tests A/B
Les miniatures sont un élément clé du succès d’une vidéo sur YouTube. Je travaille avec un miniamaker, chargé de produire trois variantes pour chaque vidéo. Ces miniatures sont ensuite soumises à des tests A/B pour identifier celle qui aura le meilleur impact en termes de CTR (taux de clic).
Marc, de son côté, utilise souvent les mêmes designs pour ses miniatures, se focalisant principalement sur les titres pour accroître la curiosité. Ses CTR varient selon les sujets, ce qui lui permet de conserver une audience engagée.
Chapitrage et SEO
Enfin, j’intègre systématiquement un chapitrage dans mes vidéos afin de maximiser leur visibilité dans les résultats de recherche et de faciliter la navigation pour les spectateurs. Chaque chapitre est rédigé avec des mots-clés précis, correspondant aux questions que mon audience est susceptible de rechercher, un peu comme un contenu optimisé pour Google. Cela permet de découper une vidéo en plusieurs "entrées" exploitables individuellement par l’algorithme.
Marc, quant à lui, rédige le chapitrage uniquement quand il juge qu’une vidéo est susceptible d’en bénéficier, notamment lorsqu’elle mérite un coup de pouce supplémentaire pour être mieux référencée.
Ces deux approches de la production et de la post-production montrent qu’il n’y a pas une seule façon de réussir sur YouTube. Que vous optiez pour une méthode simple et rapide ou pour une organisation plus structurée et professionnelle, l’essentiel est d’adapter vos moyens et vos objectifs à votre style de création.
Combien de Vues Peut‑on Faire ?

Que vous publiiez beaucoup ou peu, réussir à maintenir un bon niveau de vues sur YouTube n’est pas qu’une question de quantité. Avec Marc, nous avons des approches très différentes, mais nos chaînes affichent des résultats similaires. Par exemple, Marc totalise environ 205 000 vues par mois avec toutes ses chaînes combinées, un chiffre qui est également proche de mes performances sur Oseille TV.
Cependant, une différence significative réside dans la longévité des vidéos. De mon côté, je me concentre sur des contenus evergreen SEO, qui fonctionnent sur la durée. Des vidéos comme des guides sur la fiscalité ou l’expatriation continuent d'attirer des spectateurs mois après mois. À l’inverse, Marc produit un mélange de vidéos éphémères, qui génèrent des pics de vues immédiatement après leur publication, et de vidéos durables, qui maintiennent un flux constant sur le long terme.
Combien peut-on gagner avec une chaîne YouTube ?

La monétisation sur YouTube ne se limite pas aux revenus publicitaires d’AdSense, et c’est très clair pour Marc et moi. Si nos vues sont similaires, nos revenus diffèrent nettement en raison de nos stratégies et investissements.
Marc génère plus de 250 000 € de bénéfices par an à travers ses diverses activités liées à ses chaînes. Cependant, il souligne que la monétisation AdSense reste marginale : environ 1 000 € par mois, soit 12 000 € par an, pour l’ensemble de ses chaînes. Cela montre bien que les pubs YouTube ne représentent qu’un faible pourcentage dans un business global. Marc gère également ses dépenses avec attention. Ses seuls frais réguliers sont les salaires de quatre analystes pour 1 500 € par mois au total, ce qui reste raisonnable compte tenu de ses résultats.
De mon côté, ma chaîne génère 2 300 000 € de chiffre d’affaires, dont 1 700 000 € de bénéfices. Une partie importante de ce budget, environ 600 000 €, est réinvestie dans le développement de mon activité :
100 000 € consacrés à la production des vidéos,
Le reste utilisé pour mes équipes, les outils, et les processus liés à mes formations, affiliations, et projets connexes.
Cette approche structurée m’a permis de construire un business solide en diversifiant mes sources de revenus, notamment à travers :
Mes formations en ligne,
Mes affiliations,
Et d’autres services adaptés à mon audience.
Si vous souhaitez accroître vos revenus sur YouTube, il est essentiel de ne pas vous limiter aux publicités. Adopter une stratégie diversifiée, bien pensée et alignée avec les besoins de votre audience, est la clé pour maximiser le potentiel de votre chaîne tout en maintenant une activité engageante et rentable.
Conclusion
En résumé, réussir sur YouTube ne repose pas sur une seule manière de faire. Entre ma stratégie sur Oseille TV, basée sur des vidéos travaillées et optimisées pour le long terme, et celle de Marc BluerSky, axée sur la spontanéité et la diversité avec plusieurs chaînes, les approches peuvent être radicalement différentes tout en conduisant à des résultats similaires en termes de vues.
Mais au-delà des chiffres de vues, c’est surtout la monétisation et la gestion de votre activité qui font la différence. Alors que Marc génère plus de 250 000 € de bénéfices annuels, j’ai pu développer ma chaîne pour atteindre 1 700 000 € de bénéfices, notamment avec des stratégies diversifiées et une forte organisation autour de mes productions. Cela dit, Marc n’est pas dans une phase de croissance à tout prix : il privilégie aujourd’hui le plaisir et la liberté dans sa création de contenu. S’il choisissait de professionnaliser davantage certains aspects de son activité, il pourrait aisément développer ses revenus.
Si vous cherchez à lancer ou à développer votre chaîne YouTube pour en faire une source fiable de revenus, il est essentiel d’adopter une stratégie qui correspond à votre profil et à vos objectifs. Et c’est exactement ce que je propose dans ma formation Smart Creator. Je partage avec vous toutes les clés pour créer des vidéos performantes, développer une audience engagée et mettre en place une monétisation efficace.
FAQ
Est-ce que les publicités AdSense suffisent pour vivre de YouTube ?
Non, les revenus publicitaires via AdSense sont généralement faibles. Par exemple, malgré ses nombreuses chaînes, Marc ne reçoit qu’environ 1 000 € par mois d’AdSense. D’autres sources de revenus comme les formations, les affiliations et les services complémentaires sont essentielles pour augmenter ses bénéfices.
Faut-il déléguer ou tout gérer seul pour sa chaîne YouTube ?
Cela dépend de vos priorités. Marc gère une grande partie de ses vidéos seul, avec un budget mensuel de 1 500 € pour payer ses analystes. Pour ma part, je travaille avec une équipe qui gère la post-production, le design des miniatures et la stratégie SEO, ce qui me permet de me concentrer sur des vidéos de qualité.
Pourquoi certaines vidéos ont une durée de vie limitée sur YouTube ?
Certaines vidéos, comme des sujets d’actualité ou des expériences personnelles, génèrent des pics de vues immédiats, mais perdent de leur traction après quelques jours. À l’inverse, les contenus evergreen restent pertinents et visibles longtemps après leur mise en ligne.
Quel budget faut-il pour produire une chaîne YouTube ?
Le budget dépend de votre stratégie. Marc fonctionne avec un coût très réduit (1 500 € par mois pour ses analystes), en utilisant un setup minimaliste. De mon côté, je consacre un budget de 600 000 € par an pour couvrir le tournage, les outils, et le travail de mes équipes, ce qui me permet de produire des vidéos très travaillées.
Faut-il investir dans du matériel haut de gamme pour débuter sur YouTube ?
Pas nécessairement. Marc s’appuie sur un smartphone récent, un micro DJI et de la lumière naturelle pour produire ses vidéos. Durant mes débuts, j'ai également adopté cette approche minimaliste avant de passer à des équipements professionnels lorsqu'il était temps de développer davantage Oseille TV.
Points clés de l'article :
Une ou plusieurs chaînes YouTube ? Avantages stratégiques de centraliser ou segmenter votre contenu en fonction de vos thématiques et audiences cibles.
Fréquence idéale de publication : Pourquoi le rythme de publication doit s’adapter à vos ressources, à l'algorithme et aux attentes de votre audience.
Créer une vidéo performante : Découvrez les astuces pour capter l’attention dès les premières secondes, optimiser les titres et miniatures, et maximiser l’engagement.
Produire efficacement : Équipements simples, processus de tournage minimaliste ou infrastructure avancée ? Quel modèle convient à votre stratégie YouTube.
Monétisation YouTube : Démystifiez les revenus AdSense et explorez les moyens de diversifier vos profits via votre chaîne.
Introduction
Lancer ou développer une chaîne YouTube amène forcément son lot de questions : faut‑il privilégier la qualité des vidéos ou la quantité ? À quelle fréquence publier pour maximiser ses vues ? Quel matériel choisir pour se lancer ?
Pour répondre à toutes ces interrogations, j’ai échangé avec Marc BluerSky, entrepreneur à la tête de plusieurs chaînes YouTube à succès, telles qu’Objectif-Renta ou La Chaîne de la Vérité.
Dans cet article, nous vous proposons un comparatif inédit entre deux visions radicalement opposées. Sur ma chaîne YouTube Oseille TV, je privilégie une production millimétrée, des vidéos travaillées en profondeur et le soutien d’une équipe dédiée. Quant à Marc, il mise sur la spontanéité : des vidéos brutes, publiées à un rythme soutenu.
Pourtant, malgré des méthodes très différentes, nos chaînes affichent des résultats étonnamment comparables.
Découvrez les coulisses de nos stratégies sur YouTube et faites le plein de conseils pour choisir la méthode qui vous correspond le mieux !
Faut-il créer une seule chaîne YouTube ou en gérer plusieurs ?

L’une des premières décisions pour se lancer ou structurer une activité sur YouTube, c’est de choisir entre une seule chaîne qui regroupe toutes vos thématiques ou plusieurs chaînes. Ce choix peut avoir un impact majeur sur votre audience, votre organisation et votre gestion du contenu.
Sur ma chaîne Oseille TV, j’ai fait le choix de tout centraliser. Pourquoi ? Parce que mon contenu tourne autour d’une thématique principale : l’argent. Que je parle d’expatriation, de fiscalité, d’investissement ou d’Amazon FBA, ces sujets restent cohérents et atteignent le même type d’audience. Cette approche me permet de regrouper l’autorité de ma chaîne et de ne pas disperser mes efforts, notamment pour le référencement de mes vidéos.
À l’inverse, Marc BluerSky a choisi la diversification. Il gère plusieurs chaînes bien distinctes. Par exemple, avec Objectif-Renta, il parle des investissements comme le crowdfunding et les ETF. Sur La Chaîne de la Vérité, il aborde des sujets totalement différents, plus libres, comme les expériences de vie ou des discussions sur l’expatriation. Il possède également d’autres chaînes annexes, comme BluerSky TV, où il publie des vidéos plus spécifiques, comme des vidéos exploratoires tournées dans des rues locales. Cette segmentation lui permet de traiter des thèmes incompatibles sans craindre de désorienter son audience principale ou de mettre en péril ses chaînes principales en cas de contenu à risque.
Les critères pour choisir
Si vous hésitez entre une chaîne unique ou plusieurs chaînes, voici quelques points à évaluer :
Votre thématique : Si vos sujets sont cohérents et complémentaires, regrouper le contenu peut aider à renforcer l’autorité de votre chaîne principale.
Votre audience : Si vous ciblez des publics très différents, opter pour plusieurs espaces distincts est souvent préférable.
Les risques liés au contenu : Si vous produisez des vidéos sensibles ou expérimentales, des chaînes secondaires permettent de limiter les impacts négatifs potentiels.
Votre capacité de production : Gérer plusieurs chaînes exige une organisation efficace, surtout pour alimenter régulièrement chacune d'elles.
Quelle est la fréquence idéale pour publier sur YouTube ?

Un autre facteur clé pour réussir sur YouTube est la fréquence de publication. Il s’agit de trouver un rythme adapté à vos capacités, mais aussi à votre stratégie de développement. Êtes-vous prêt à publier régulièrement ou préférez-vous miser sur des contenus plus espacés mais plus approfondis ?
De mon côté, sur Oseille TV, je publie environ 4 vidéos par mois. Ce n’est pas beaucoup, mais elles sont pensées pour durer dans le temps. Je privilégie des vidéos dites "evergreen", c’est-à-dire des contenus intemporels qui restent pertinents longtemps après leur publication.
À l’opposé, Marc BluerSky publie jusqu’à 45 vidéos par mois, toutes chaînes confondues ! Sur certaines de ses chaînes, comme La Chaîne de la Vérité, il peut publier une vidéo par jour. Cette cadence soutenue assure une visibilité constante et attire régulièrement de nouvelles audiences. Cependant, il reconnaît que ce rythme est parfois difficile à maintenir. Certaines vidéos fonctionnent très bien rapidement, tandis que d’autres nécessitent plus de temps pour trouver leur public.
En définitive, chaque approche présente ses avantages : l’important est de choisir une fréquence qui serve au mieux vos objectifs.
Comment concevoir une vidéo YouTube performante ?
Créer une vidéo réussie sur YouTube, c’est avant tout allier une bonne préparation et une capacité à captiver l’audience dès les premières secondes.

Trouver un sujet captivant
Tout commence par le choix du thème. Les vidéos peuvent répondre à un besoin auquel votre audience peut s’identifier, ou bien à une question posée en commentaire, à un sujet d’actualité ou à tout autre thème pertinent selon votre contenu.
De mon côté, je note toutes mes idées dans Dynalist, un outil qui me permet de planifier et d’organiser mes sujets sur le long terme. Parfois, une vidéo peut mûrir plusieurs semaines avant d’être finalisée.
Marc, lui, conserve une liste d’idées dans une Google Sheet et dispose déjà de plus de 400 idées disponibles, prêtes à être tournées. Cette méthode lui permet de produire rapidement sans qu'il ait à trop s’arrêter sur des détails, privilégiant ainsi la spontanéité et la réactivité.
Structurer efficacement
Pour garantir une vidéo fluide, j’utilise toujours des points clés. Cela évite à mes vidéos de s’éparpiller tout en laissant un certain naturel au discours. J’évite les répétitions et veille à ce que chaque point apporte une réelle valeur à ceux qui regardent, car je considère que leur temps est précieux. J’accorde aussi beaucoup d’importance à la recherche en amont, afin de proposer des informations solides et utiles dans un format capsule, généralement assez condensé.
Marc, lui aussi, prépare ses vidéos avec des points, mais il ne s’impose pas de structure rigide. Il privilégie la spontanéité et la liberté, sans se soucier particulièrement de la durée : ses vidéos peuvent donc être courtes ou beaucoup plus longues, selon l’inspiration du moment. Cette flexibilité s’aligne bien avec son style plus "brut", qui plaît à son audience, habituée à son côté naturel et authentique.
Soigner les 30 premières secondes
Une vidéo doit capter l’attention dans les premiers instants. Cela passe par un hook, une phrase d’accroche forte, ou un début direct qui annonce clairement ce que le spectateur va retirer de la vidéo. Je mets donc beaucoup d’efforts à optimiser cette phase critique pour minimiser les abandons.
Marc, lui, démarre souvent ses vidéos par des introductions plus libres, où il partage son environnement. Malgré cette approche moins conventionnelle, ses abonnés apprécient son authenticité, ce qui renforce leur fidélité.
Les piliers de la performance : le titre et la miniature
Sur YouTube, le succès d’une vidéo dépend en grande partie de la force du titre et de la miniature, qui incitent au clic et à la découverte.
Chacun a sa méthode : j’accorde une attention particulière à l’optimisation des titres et à la pertinence des miniatures, tandis que Marc privilégie la simplicité visuelle et des titres accrocheurs pour éveiller la curiosité de son audience.
Comment enregistrer efficacement une vidéo YouTube ?
La production d’une vidéo pour YouTube peut être abordée de différentes manières, selon vos ressources, vos objectifs et votre expérience. Ces deux approches montrent qu’il est tout à fait possible d’atteindre des résultats significatifs, quel que soit votre niveau d'investissement initial.

Le setup minimaliste
Lorsqu’il tourne ses vidéos, Marc utilise un matériel très simple : deux smartphones Samsung, un microphone DJI pour la réduction du bruit et généralement une lumière naturelle. Son objectif est de produire rapidement en un seul tournage, sans prise multiple. Cela lui permet de conserver une spontanéité et une authenticité qui plaisent à son audience. Une vidéo peut prendre 15 minutes seulement à enregistrer.
De mon côté, bien que j’aie moi aussi commencé avec un smartphone et des vidéos enregistrées seul, je recommande aux débutants de s’équiper au minimum d’un téléphone récent et d’un bon micro. Une lumière naturelle bien exposée peut également suffire pour obtenir une qualité correcte. Ce type de setup est parfait pour débuter sans s’encombrer d'équipements coûteux ou trop complexes.
Un setup avancé pour se professionnaliser
Aujourd’hui, mes tournages ont évolué avec du matériel beaucoup plus robuste et l'intervention d’une équipe. Selon les besoins, je collabore avec des studios podcast ou je fais venir des caméramans sur place, que ce soit chez moi ou lors de mes voyages. Ce système m’a permis de réduire mon temps de travail personnel tout en améliorant la qualité visuelle et sonore de mes vidéos. Par exemple, une vidéo classique peut me prendre entre 1h30 et 2h de tournage, contre plusieurs jours auparavant lorsque je réalisais tout moi-même.
Un équipement avancé, comme des caméras tournant en 4K, a également un impact non négligeable sur la qualité perçue. Pour ma part, des vidéos en 4K captent mieux l’attention des spectateurs et aident parfois à augmenter leur visibilité sur l’algorithme YouTube.
Comment monter et publier une vidéo YouTube ?
La post-production joue un rôle essentiel dans le rendu final d'une vidéo YouTube. Elle donne l’opportunité de peaufiner les images, d’harmoniser le son et de préparer le contenu à être publié de manière optimale. Mais là encore, nos styles diffèrent entre une approche simple et rapide, et une stratégie plus poussée avec plusieurs intervenants.

Le montage minimaliste
Pour Marc, la post-production est volontairement simplifiée à l’extrême. Il utilise CapCut, une application dans son téléphone qui lui permet de couper le début et la fin de ses vidéos, supprimer le bruit de fond et ajouter un petit habillage visuel (par exemple, un "like" ou un "share"). Une fois ce montage réalisé, il exporte sa vidéo en 1080p, une qualité tout à fait suffisante pour ses besoins. Cette approche lui permet de finaliser une vidéo complète en 15 minutes seulement.
Cette rapidité lui laisse le temps de publier plusieurs vidéos par jour lorsqu’il le souhaite, tout en évitant des coûts élevés liés au montage ou à un processus de travail complexe.
Un workflow optimisé avec une équipe
De mon côté, la post-production est plus élaborée et implique plusieurs intervenants. Une fois le tournage terminé, les fichiers bruts sont envoyés à mes monteurs. Ceux-ci réalisent le montage, puis déposent leur travail finalisé sur une plateforme de travail collaboratif comme Frame.io. Cet outil me permet de commenter directement sur les vidéos en ligne, d’ajuster les passages à modifier ou de donner des consignes sur les incrustations et habillages nécessaires.
Avant même que je ne donne ma validation, deux membres de mon équipe passent en revue le projet pour effectuer une première vérification des détails. Cette organisation m’économise énormément de temps tout en garantissant un résultat final de haute qualité.
Miniatures et tests A/B
Les miniatures sont un élément clé du succès d’une vidéo sur YouTube. Je travaille avec un miniamaker, chargé de produire trois variantes pour chaque vidéo. Ces miniatures sont ensuite soumises à des tests A/B pour identifier celle qui aura le meilleur impact en termes de CTR (taux de clic).
Marc, de son côté, utilise souvent les mêmes designs pour ses miniatures, se focalisant principalement sur les titres pour accroître la curiosité. Ses CTR varient selon les sujets, ce qui lui permet de conserver une audience engagée.
Chapitrage et SEO
Enfin, j’intègre systématiquement un chapitrage dans mes vidéos afin de maximiser leur visibilité dans les résultats de recherche et de faciliter la navigation pour les spectateurs. Chaque chapitre est rédigé avec des mots-clés précis, correspondant aux questions que mon audience est susceptible de rechercher, un peu comme un contenu optimisé pour Google. Cela permet de découper une vidéo en plusieurs "entrées" exploitables individuellement par l’algorithme.
Marc, quant à lui, rédige le chapitrage uniquement quand il juge qu’une vidéo est susceptible d’en bénéficier, notamment lorsqu’elle mérite un coup de pouce supplémentaire pour être mieux référencée.
Ces deux approches de la production et de la post-production montrent qu’il n’y a pas une seule façon de réussir sur YouTube. Que vous optiez pour une méthode simple et rapide ou pour une organisation plus structurée et professionnelle, l’essentiel est d’adapter vos moyens et vos objectifs à votre style de création.
Combien de Vues Peut‑on Faire ?

Que vous publiiez beaucoup ou peu, réussir à maintenir un bon niveau de vues sur YouTube n’est pas qu’une question de quantité. Avec Marc, nous avons des approches très différentes, mais nos chaînes affichent des résultats similaires. Par exemple, Marc totalise environ 205 000 vues par mois avec toutes ses chaînes combinées, un chiffre qui est également proche de mes performances sur Oseille TV.
Cependant, une différence significative réside dans la longévité des vidéos. De mon côté, je me concentre sur des contenus evergreen SEO, qui fonctionnent sur la durée. Des vidéos comme des guides sur la fiscalité ou l’expatriation continuent d'attirer des spectateurs mois après mois. À l’inverse, Marc produit un mélange de vidéos éphémères, qui génèrent des pics de vues immédiatement après leur publication, et de vidéos durables, qui maintiennent un flux constant sur le long terme.
Combien peut-on gagner avec une chaîne YouTube ?

La monétisation sur YouTube ne se limite pas aux revenus publicitaires d’AdSense, et c’est très clair pour Marc et moi. Si nos vues sont similaires, nos revenus diffèrent nettement en raison de nos stratégies et investissements.
Marc génère plus de 250 000 € de bénéfices par an à travers ses diverses activités liées à ses chaînes. Cependant, il souligne que la monétisation AdSense reste marginale : environ 1 000 € par mois, soit 12 000 € par an, pour l’ensemble de ses chaînes. Cela montre bien que les pubs YouTube ne représentent qu’un faible pourcentage dans un business global. Marc gère également ses dépenses avec attention. Ses seuls frais réguliers sont les salaires de quatre analystes pour 1 500 € par mois au total, ce qui reste raisonnable compte tenu de ses résultats.
De mon côté, ma chaîne génère 2 300 000 € de chiffre d’affaires, dont 1 700 000 € de bénéfices. Une partie importante de ce budget, environ 600 000 €, est réinvestie dans le développement de mon activité :
100 000 € consacrés à la production des vidéos,
Le reste utilisé pour mes équipes, les outils, et les processus liés à mes formations, affiliations, et projets connexes.
Cette approche structurée m’a permis de construire un business solide en diversifiant mes sources de revenus, notamment à travers :
Mes formations en ligne,
Mes affiliations,
Et d’autres services adaptés à mon audience.
Si vous souhaitez accroître vos revenus sur YouTube, il est essentiel de ne pas vous limiter aux publicités. Adopter une stratégie diversifiée, bien pensée et alignée avec les besoins de votre audience, est la clé pour maximiser le potentiel de votre chaîne tout en maintenant une activité engageante et rentable.
Conclusion
En résumé, réussir sur YouTube ne repose pas sur une seule manière de faire. Entre ma stratégie sur Oseille TV, basée sur des vidéos travaillées et optimisées pour le long terme, et celle de Marc BluerSky, axée sur la spontanéité et la diversité avec plusieurs chaînes, les approches peuvent être radicalement différentes tout en conduisant à des résultats similaires en termes de vues.
Mais au-delà des chiffres de vues, c’est surtout la monétisation et la gestion de votre activité qui font la différence. Alors que Marc génère plus de 250 000 € de bénéfices annuels, j’ai pu développer ma chaîne pour atteindre 1 700 000 € de bénéfices, notamment avec des stratégies diversifiées et une forte organisation autour de mes productions. Cela dit, Marc n’est pas dans une phase de croissance à tout prix : il privilégie aujourd’hui le plaisir et la liberté dans sa création de contenu. S’il choisissait de professionnaliser davantage certains aspects de son activité, il pourrait aisément développer ses revenus.
Si vous cherchez à lancer ou à développer votre chaîne YouTube pour en faire une source fiable de revenus, il est essentiel d’adopter une stratégie qui correspond à votre profil et à vos objectifs. Et c’est exactement ce que je propose dans ma formation Smart Creator. Je partage avec vous toutes les clés pour créer des vidéos performantes, développer une audience engagée et mettre en place une monétisation efficace.
FAQ
Est-ce que les publicités AdSense suffisent pour vivre de YouTube ?
Non, les revenus publicitaires via AdSense sont généralement faibles. Par exemple, malgré ses nombreuses chaînes, Marc ne reçoit qu’environ 1 000 € par mois d’AdSense. D’autres sources de revenus comme les formations, les affiliations et les services complémentaires sont essentielles pour augmenter ses bénéfices.
Faut-il déléguer ou tout gérer seul pour sa chaîne YouTube ?
Cela dépend de vos priorités. Marc gère une grande partie de ses vidéos seul, avec un budget mensuel de 1 500 € pour payer ses analystes. Pour ma part, je travaille avec une équipe qui gère la post-production, le design des miniatures et la stratégie SEO, ce qui me permet de me concentrer sur des vidéos de qualité.
Pourquoi certaines vidéos ont une durée de vie limitée sur YouTube ?
Certaines vidéos, comme des sujets d’actualité ou des expériences personnelles, génèrent des pics de vues immédiats, mais perdent de leur traction après quelques jours. À l’inverse, les contenus evergreen restent pertinents et visibles longtemps après leur mise en ligne.
Quel budget faut-il pour produire une chaîne YouTube ?
Le budget dépend de votre stratégie. Marc fonctionne avec un coût très réduit (1 500 € par mois pour ses analystes), en utilisant un setup minimaliste. De mon côté, je consacre un budget de 600 000 € par an pour couvrir le tournage, les outils, et le travail de mes équipes, ce qui me permet de produire des vidéos très travaillées.
Faut-il investir dans du matériel haut de gamme pour débuter sur YouTube ?
Pas nécessairement. Marc s’appuie sur un smartphone récent, un micro DJI et de la lumière naturelle pour produire ses vidéos. Durant mes débuts, j'ai également adopté cette approche minimaliste avant de passer à des équipements professionnels lorsqu'il était temps de développer davantage Oseille TV.
Auteur

Julien Oseille TV
CEO
Passionné par l'e-commerce, le business en ligne et l’expatriation, j’ai bâti ma liberté en lançant mon premier produit sur Amazon il y a 9 ans, puis en explorant les meilleures stratégies pour entreprendre sans subir une fiscalité écrasante.
Aujourd’hui, après avoir généré plusieurs millions d’euros et vécu aux quatre coins du monde, je vous partage mon expertise pour vous aider à créer un business rentable et choisir le pays qui correspond à vos valeurs, tout en optimisant votre fiscalité.
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© 2025 Oseille TV. Tous droits réservés
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