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    Expatriation

    Vivre à l'étranger : Ce qui me manque réellement de la France après 13 ans d'expatriation

    Après 13 ans d’expatriation, certaines facettes de la France restent irremplaçables. Entre gastronomie, patrimoine culturel et ambiance urbaine unique, voici ce qui me manque vraiment de mon pays d’origine et que je n’ai retrouvé nulle part ailleurs.

    Julien Oseille TV

    CEO

    PUBLIÉ

    2 mars 2025


    Points clés de l'article :

    - Famille et amis : L'impact des liens familiaux et amicaux quand on vit loin de la France.

    - Culture culinaire et commerces français : La richesse des supermarchés, boulangeries et marchés français qui se fait sentir à l’étranger.

    - Trésors culturels et musées : La nostalgie de l’accès privilégié à une offre culturelle française unique.

    - Sorties théâtrales inoubliables : Le manque d'expériences théâtrales et de spectacles vivants typiques de la France.

    - Architecture et urbanisme : L'attrait des façades, des boulevards et de l'ambiance urbaine française dans mon quotidien.


    Introduction

    Depuis que j'ai quitté la France il y a 13 ans, l'expatriation est devenue un sujet personnel qui me tient à cœur. J'ai souvent parlé de mon départ et, même si j'ai parfois critiqué la France et ses évolutions, j'aime toujours profondément mon pays d'origine. Ce que je n'apprécie pas, c'est ce que la France est devenue après de longues décennies de socialisme. Aujourd'hui, je souhaite partager avec vous concrètement ce qui me manque, en m'appuyant sur mon expérience personnelle et les souvenirs forts qui me rappellent les beaux aspects de la vie en France.


    Les liens familiaux et amicaux à distance

    Quitter la France a impliqué de me détacher physiquement de ma famille et de mes amis, une crainte récurrente pour ceux qui s'expatrient. Pour ma part, ce décalage s'est fait en deux étapes. J'avais quitté le foyer familial vers 16 ou 17 ans, ce qui m'avait déjà habitué à la solitude. Ainsi, partir à 22 ans n'a pas constitué un choc majeur, même si vivre loin de mes proches a laissé un vide notable.

    Avec le temps, l'éloignement se ressent encore plus. J'ai récemment perdu ma grand-mère et cela m'a fait réaliser combien il aurait été préférable de passer davantage de temps avec ceux qui me sont chers. La distance rend les rencontres en personne plus difficiles et fait grandir le regret des moments partagés autrefois.

    Aujourd'hui, la technologie permet de réduire cet éloignement. Les messages instantanés sur WhatsApp et les appels vidéo facilitent la communication, bien que rien ne remplace une rencontre physique. Je pense aux temps anciens, quand mon grand-père vivait en Algérie ou à Buenos Aires et envoyait des lettres à mon arrière-grand-mère ; chaque courrier mettait entre 10 et 30 jours pour arriver en France. Cela montre combien les échanges actuels sont rapides en comparaison.


    Comment garder un lien avec ses proches à l'étranger ?


    Pour compenser le manque de proximité, j'essaie d'organiser des retrouvailles une fois par an. Que ce soit en République Dominicaine, au Maroc ou même lors de voyages à Buenos Aires avec mon père, ces moments permettent de créer des souvenirs marquants, bien différents d'un dimanche un peu forcé passé devant Drucker à déjeuner jusqu'à 17h, où l'on peine à retenir un instant précis.

    Sur le plan amical, il est vrai que peu d'amis d'antan restent en contact, à l'exception de Joël, par exemple. Mes meilleures relations se sont construites dans les lieux où je vis actuellement, notamment à Panama, où les rencontres se font naturellement.


    La nostalgie de la gastronomie et des commerces français

    Ce qui me manque le plus sur le plan alimentaire, ce n'est pas tant la cuisine française en elle-même. Au quotidien, mon régime se compose plutôt de nigiris de poisson blanc et de viande rouge, et j'aime découvrir différents types de restaurants, qu'ils soient géorgiens, péruviens, turcs ou chinois. Un plat typiquement français, je n'en savoure vraiment qu'une fois par mois, voire tous les deux mois.

    Ce qui me manque vraiment, ce sont les magasins et la diversité d'un supermarché français. Qu'on se trouve en province ou dans un Carrefour, la profondeur du choix offert en termes de qualité est surprenante. Les petits commerces de proximité, comme les traiteurs, les primeurs et les boulangeries, apportent une touche d'authenticité difficile à retrouver ailleurs.


    Qu'est-ce qui me manque vraiment de la nourriture française ?


    Je pense aussi aux marchés locaux, dont l'ambiance unique, avec l'effervescence des vendeurs et des clients, contribue à une expérience quotidienne incomparable. À l'étranger, même si l'on peut trouver des restaurants français et quelques épiceries fines dédiées aux produits français, l'offre reste limitée et ne reflète pas toute cette richesse.

    J'avais même remarqué avec humour combien Picard me manque, tant c'est une institution culturelle en France. Avoir rapidement à portée de main un plat sain et savoureux, réchauffé en quelques minutes, est un avantage du quotidien qu'on ne retrouve pas ici, comme par exemple à Panama.


    L'absence des trésors culturels et musées

    En vivant à Panama, j'ai constaté combien la vie culturelle y est limitée. Ici, il n'existe que deux musées et il manque une vraie scène d'expositions et d'événements culturels. Comparé à mon passé à Paris, où je faisais de fréquentes sorties pour visiter des musées, la différence est flagrante.

    À Paris, je pouvais aisément passer mes après-midis entre le Louvre, le musée d'Orsay ou l'Orangerie, sans oublier des adresses plus confidentielles comme le musée de la chasse dans le Marais ou encore les collections offertes par Nissim de Camondo, Jacquemart-André et le musée de la Vie Romantique. Ces lieux offraient des expériences marquantes, avec des expositions mémorables comme celle de Salvador Dalí ou les installations présentées au Georges Pompidou en 2012-2013.


    Le Louvre, symbole de la culture française irremplaçable à l’international, le plus grand musée du monde.


    Aujourd'hui, même si je me rends dans de grandes villes internationales comme New York ou Washington DC, il est rare de retrouver ce niveau d'excellence qui caractérisait mes sorties culturelles en France. Le manque de musées de qualité et d'expositions riches en émotions est un des aspects qui marque mon quotidien à l'étranger.


    Le manque des sorties théâtrales et spectacles vivants

    Quand j'étais en France, notamment à Paris, j'allais voir une belle pièce de théâtre une à deux fois par mois. Ce n'était pas seulement l'expérience de la représentation, mais aussi l'ambiance qui l'accompagnait. Après une séance à la Comédie Française, par exemple, on se retrouvait au Café Ruc, en face de la Comédie Française, pour prendre un verre, manger un bout et partager un moment convivial. Ces sorties formaient un tout, un rituel qui apportait beaucoup de vie sociale.


    La Comédie-Française, emblème du théâtre français, témoigne de la richesse des sorties culturelles à l'étranger.


    À l'étranger, surtout en dehors de l'Occident, il est difficile de retrouver une qualité comparable dans l'offre théâtrale. Lorsqu'on assiste à un spectacle ici, la pièce, le lieu et même la langue ne permettent pas toujours de ressentir la même émotion qu'en France. Pour pallier ce manque, je profite parfois de mes voyages. Par exemple, lors d'un séjour de deux mois en Argentine l'année dernière, j'ai pu voir une ou deux pièces qui, bien que qualitatives, restent rares comparé à ce que j'avais l'habitude de vivre.

    Autre alternative, je regarde parfois d'anciens enregistrements sur YouTube, comme "Au théâtre ce soir". Même si la qualité de l'image laisse parfois à désirer, cela remplace en partie cette sensation unique d'assister à une pièce en direct. Pour moi, rien ne vaut l'expérience réelle d'un spectacle vivant, celle qui donne vie à la magie des arts et offre une véritable communion avec le public.


    L'attrait de l'architecture et de l'urbanisme français

    Ce qui me manque particulièrement, c'est l'architecture française et la manière dont les villes sont organisées. Durant mes 13 ans d'expatriation, j'ai vécu au Maroc, aux Émirats et à Panama. Même si j'apprécie les skylines modernes et les grands gratte-ciel dans ces pays, rien ne remplace les belles façades et l'alignement précis des bâtiments qu'on trouve à Paris. Dans la capitale, les bâtiments haussmanniens et les grands boulevards offrent un spectacle visuel unique qui me fascine toujours.


    Pourquoi l'architecture et l'urbanisme français me manquent-ils ?


    Je tiens aussi à l'aspect piétonnier des quartiers parisiens. Faire une balade à pied, flâner de boutique en boutique sans savoir où l'on va, tout cela crée une ambiance tout à fait particulière qui manque cruellement ici. Par exemple, à Buenos Aires en Argentine, même si on peut trouver des endroits agréables pour se promener, on ne retrouve pas cette harmonie architecturale ni cette richesse urbaine typique de la France.

    Au Maroc, je vivais dans une médina où les lumières du soir et la ville ocre apportaient une beauté singulière. Toutefois, les façades y restent moins impressionnantes, car l'architecture se cache souvent à l'intérieur des maisons et des riads. En comparaison, Paris offre une vision spectaculaire à partir du deuxième étage des bâtiments, malgré le désagrément que je remarque parfois au niveau du trottoir, comme les tags et autres dégradations urbaines.

    Ce contraste entre l'organisation urbaine française et les environnements que je retrouve à l'étranger souligne combien ce style d'architecture me manque. Il n'existe pas beaucoup d'endroits capables de recréer ce même type de boulevard et d'ambiance piétonne, que ce soit en Europe ou en Argentine.


    Conclusion

    En résumé, après 13 ans d'expatriation, je constate que peu de choses me manquent vraiment de la France. Ce qui me pèse, ce sont surtout quelques éléments irremplaçables comme la qualité de la culture, l'accès aux musées et la diversité des commerces alimentaires. La crainte de manquer trop de choses lors du départ de France s'est révélée largement infondée. Au contraire, il y a plus d'aspects de la vie quotidienne à l'étranger qui me conviennent que de choses qui me font regretter mon pays d'origine. Si je devais évoquer dans un article ce qui ne me manque pas de la France, il serait certainement encore plus long que celui-ci.

    Pour ceux qui souhaitent optimiser leur vie à l'étranger, ma formation sur l'expatriation en optimisant sa fiscalité, la Offshore Mastery, vous propose des stratégies concrètes pour gérer vos impôts de manière légale et efficace. Si vous envisagez également de lancer un business en ligne, ma formation Amazon FBA, la Super Seller Académie, vous guide pas à pas pour créer et développer une activité rentable.

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    FAQ

    Comment garder un lien avec ses proches à l'étranger ?

    Pour maintenir le contact malgré la distance, j'utilise largement les technologies actuelles. Les appels vidéo, la messagerie instantanée et même les projets de réunions en réalité virtuelle permettent de conserver une communication régulière. J'organise également des retrouvailles annuelles, en choisissant des lieux où ma famille et mes amis se rassemblent, comme lors de voyages en République Dominicaine, au Maroc ou encore à Buenos Aires.

    Qu'est-ce qui me manque vraiment de la nourriture française à l'étranger ?

    Ce qui me manque le plus, ce n'est pas forcément la cuisine dans les restaurants français, mais bien l'expérience unique de faire ses courses en France. Les supermarchés et commerces de proximité offrent une diversité et une qualité de produits difficile à retrouver à l'étranger. En France, le simple fait de pouvoir choisir parmi une large gamme de produits frais et locaux crée une expérience culinaire quotidienne incomparable.

    Quels aspects de la vie culturelle française me manquent le plus ?

    Les sorties culturelles occupent une place importante dans mes souvenirs. À Paris, je visitais régulièrement des lieux emblématiques comme le Musée du Louvre ou le Musée d'Orsay, ainsi que des musées plus confidentiels. Ces visites enrichissantes, accompagnées de l'ambiance unique des expositions et des échanges culturels, me manquent profondément à l'étranger où l'offre culturelle est souvent bien moins dense.

    Quelles sont les solutions pour pallier le manque de culture française ?

    Pour pallier ce manque, je compense en organisant des voyages culturels vers des villes offrant une bonne scène artistique, comme New York ou Washington DC, même si le résultat reste bien différent de l'expérience française. Je regarde également des anciennes représentations théâtrales et des enregistrements culturels en ligne, ce qui permet de retrouver partiellement l'atmosphère unique d'une sortie culturelle en France.

    L'architecture française peut-elle être retrouvée ailleurs ?

    Il est très difficile de retrouver l'architecture typique de la France ailleurs. Malgré quelques quartiers attrayants dans des villes comme Buenos Aires ou certaines parties de l'Europe, l'alignement précis des façades, les grands boulevards et l'ambiance piétonne de Paris restent incomparables. Cette singularité architecturale, que j'apprécie tant, fait véritablement défaut dans les autres pays où je vis.


    Points clés de l'article :

    - Famille et amis : L'impact des liens familiaux et amicaux quand on vit loin de la France.

    - Culture culinaire et commerces français : La richesse des supermarchés, boulangeries et marchés français qui se fait sentir à l’étranger.

    - Trésors culturels et musées : La nostalgie de l’accès privilégié à une offre culturelle française unique.

    - Sorties théâtrales inoubliables : Le manque d'expériences théâtrales et de spectacles vivants typiques de la France.

    - Architecture et urbanisme : L'attrait des façades, des boulevards et de l'ambiance urbaine française dans mon quotidien.


    Introduction

    Depuis que j'ai quitté la France il y a 13 ans, l'expatriation est devenue un sujet personnel qui me tient à cœur. J'ai souvent parlé de mon départ et, même si j'ai parfois critiqué la France et ses évolutions, j'aime toujours profondément mon pays d'origine. Ce que je n'apprécie pas, c'est ce que la France est devenue après de longues décennies de socialisme. Aujourd'hui, je souhaite partager avec vous concrètement ce qui me manque, en m'appuyant sur mon expérience personnelle et les souvenirs forts qui me rappellent les beaux aspects de la vie en France.


    Les liens familiaux et amicaux à distance

    Quitter la France a impliqué de me détacher physiquement de ma famille et de mes amis, une crainte récurrente pour ceux qui s'expatrient. Pour ma part, ce décalage s'est fait en deux étapes. J'avais quitté le foyer familial vers 16 ou 17 ans, ce qui m'avait déjà habitué à la solitude. Ainsi, partir à 22 ans n'a pas constitué un choc majeur, même si vivre loin de mes proches a laissé un vide notable.

    Avec le temps, l'éloignement se ressent encore plus. J'ai récemment perdu ma grand-mère et cela m'a fait réaliser combien il aurait été préférable de passer davantage de temps avec ceux qui me sont chers. La distance rend les rencontres en personne plus difficiles et fait grandir le regret des moments partagés autrefois.

    Aujourd'hui, la technologie permet de réduire cet éloignement. Les messages instantanés sur WhatsApp et les appels vidéo facilitent la communication, bien que rien ne remplace une rencontre physique. Je pense aux temps anciens, quand mon grand-père vivait en Algérie ou à Buenos Aires et envoyait des lettres à mon arrière-grand-mère ; chaque courrier mettait entre 10 et 30 jours pour arriver en France. Cela montre combien les échanges actuels sont rapides en comparaison.


    Comment garder un lien avec ses proches à l'étranger ?


    Pour compenser le manque de proximité, j'essaie d'organiser des retrouvailles une fois par an. Que ce soit en République Dominicaine, au Maroc ou même lors de voyages à Buenos Aires avec mon père, ces moments permettent de créer des souvenirs marquants, bien différents d'un dimanche un peu forcé passé devant Drucker à déjeuner jusqu'à 17h, où l'on peine à retenir un instant précis.

    Sur le plan amical, il est vrai que peu d'amis d'antan restent en contact, à l'exception de Joël, par exemple. Mes meilleures relations se sont construites dans les lieux où je vis actuellement, notamment à Panama, où les rencontres se font naturellement.


    La nostalgie de la gastronomie et des commerces français

    Ce qui me manque le plus sur le plan alimentaire, ce n'est pas tant la cuisine française en elle-même. Au quotidien, mon régime se compose plutôt de nigiris de poisson blanc et de viande rouge, et j'aime découvrir différents types de restaurants, qu'ils soient géorgiens, péruviens, turcs ou chinois. Un plat typiquement français, je n'en savoure vraiment qu'une fois par mois, voire tous les deux mois.

    Ce qui me manque vraiment, ce sont les magasins et la diversité d'un supermarché français. Qu'on se trouve en province ou dans un Carrefour, la profondeur du choix offert en termes de qualité est surprenante. Les petits commerces de proximité, comme les traiteurs, les primeurs et les boulangeries, apportent une touche d'authenticité difficile à retrouver ailleurs.


    Qu'est-ce qui me manque vraiment de la nourriture française ?


    Je pense aussi aux marchés locaux, dont l'ambiance unique, avec l'effervescence des vendeurs et des clients, contribue à une expérience quotidienne incomparable. À l'étranger, même si l'on peut trouver des restaurants français et quelques épiceries fines dédiées aux produits français, l'offre reste limitée et ne reflète pas toute cette richesse.

    J'avais même remarqué avec humour combien Picard me manque, tant c'est une institution culturelle en France. Avoir rapidement à portée de main un plat sain et savoureux, réchauffé en quelques minutes, est un avantage du quotidien qu'on ne retrouve pas ici, comme par exemple à Panama.


    L'absence des trésors culturels et musées

    En vivant à Panama, j'ai constaté combien la vie culturelle y est limitée. Ici, il n'existe que deux musées et il manque une vraie scène d'expositions et d'événements culturels. Comparé à mon passé à Paris, où je faisais de fréquentes sorties pour visiter des musées, la différence est flagrante.

    À Paris, je pouvais aisément passer mes après-midis entre le Louvre, le musée d'Orsay ou l'Orangerie, sans oublier des adresses plus confidentielles comme le musée de la chasse dans le Marais ou encore les collections offertes par Nissim de Camondo, Jacquemart-André et le musée de la Vie Romantique. Ces lieux offraient des expériences marquantes, avec des expositions mémorables comme celle de Salvador Dalí ou les installations présentées au Georges Pompidou en 2012-2013.


    Le Louvre, symbole de la culture française irremplaçable à l’international, le plus grand musée du monde.


    Aujourd'hui, même si je me rends dans de grandes villes internationales comme New York ou Washington DC, il est rare de retrouver ce niveau d'excellence qui caractérisait mes sorties culturelles en France. Le manque de musées de qualité et d'expositions riches en émotions est un des aspects qui marque mon quotidien à l'étranger.


    Le manque des sorties théâtrales et spectacles vivants

    Quand j'étais en France, notamment à Paris, j'allais voir une belle pièce de théâtre une à deux fois par mois. Ce n'était pas seulement l'expérience de la représentation, mais aussi l'ambiance qui l'accompagnait. Après une séance à la Comédie Française, par exemple, on se retrouvait au Café Ruc, en face de la Comédie Française, pour prendre un verre, manger un bout et partager un moment convivial. Ces sorties formaient un tout, un rituel qui apportait beaucoup de vie sociale.


    La Comédie-Française, emblème du théâtre français, témoigne de la richesse des sorties culturelles à l'étranger.


    À l'étranger, surtout en dehors de l'Occident, il est difficile de retrouver une qualité comparable dans l'offre théâtrale. Lorsqu'on assiste à un spectacle ici, la pièce, le lieu et même la langue ne permettent pas toujours de ressentir la même émotion qu'en France. Pour pallier ce manque, je profite parfois de mes voyages. Par exemple, lors d'un séjour de deux mois en Argentine l'année dernière, j'ai pu voir une ou deux pièces qui, bien que qualitatives, restent rares comparé à ce que j'avais l'habitude de vivre.

    Autre alternative, je regarde parfois d'anciens enregistrements sur YouTube, comme "Au théâtre ce soir". Même si la qualité de l'image laisse parfois à désirer, cela remplace en partie cette sensation unique d'assister à une pièce en direct. Pour moi, rien ne vaut l'expérience réelle d'un spectacle vivant, celle qui donne vie à la magie des arts et offre une véritable communion avec le public.


    L'attrait de l'architecture et de l'urbanisme français

    Ce qui me manque particulièrement, c'est l'architecture française et la manière dont les villes sont organisées. Durant mes 13 ans d'expatriation, j'ai vécu au Maroc, aux Émirats et à Panama. Même si j'apprécie les skylines modernes et les grands gratte-ciel dans ces pays, rien ne remplace les belles façades et l'alignement précis des bâtiments qu'on trouve à Paris. Dans la capitale, les bâtiments haussmanniens et les grands boulevards offrent un spectacle visuel unique qui me fascine toujours.


    Pourquoi l'architecture et l'urbanisme français me manquent-ils ?


    Je tiens aussi à l'aspect piétonnier des quartiers parisiens. Faire une balade à pied, flâner de boutique en boutique sans savoir où l'on va, tout cela crée une ambiance tout à fait particulière qui manque cruellement ici. Par exemple, à Buenos Aires en Argentine, même si on peut trouver des endroits agréables pour se promener, on ne retrouve pas cette harmonie architecturale ni cette richesse urbaine typique de la France.

    Au Maroc, je vivais dans une médina où les lumières du soir et la ville ocre apportaient une beauté singulière. Toutefois, les façades y restent moins impressionnantes, car l'architecture se cache souvent à l'intérieur des maisons et des riads. En comparaison, Paris offre une vision spectaculaire à partir du deuxième étage des bâtiments, malgré le désagrément que je remarque parfois au niveau du trottoir, comme les tags et autres dégradations urbaines.

    Ce contraste entre l'organisation urbaine française et les environnements que je retrouve à l'étranger souligne combien ce style d'architecture me manque. Il n'existe pas beaucoup d'endroits capables de recréer ce même type de boulevard et d'ambiance piétonne, que ce soit en Europe ou en Argentine.


    Conclusion

    En résumé, après 13 ans d'expatriation, je constate que peu de choses me manquent vraiment de la France. Ce qui me pèse, ce sont surtout quelques éléments irremplaçables comme la qualité de la culture, l'accès aux musées et la diversité des commerces alimentaires. La crainte de manquer trop de choses lors du départ de France s'est révélée largement infondée. Au contraire, il y a plus d'aspects de la vie quotidienne à l'étranger qui me conviennent que de choses qui me font regretter mon pays d'origine. Si je devais évoquer dans un article ce qui ne me manque pas de la France, il serait certainement encore plus long que celui-ci.

    Pour ceux qui souhaitent optimiser leur vie à l'étranger, ma formation sur l'expatriation en optimisant sa fiscalité, la Offshore Mastery, vous propose des stratégies concrètes pour gérer vos impôts de manière légale et efficace. Si vous envisagez également de lancer un business en ligne, ma formation Amazon FBA, la Super Seller Académie, vous guide pas à pas pour créer et développer une activité rentable.

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    FAQ

    Comment garder un lien avec ses proches à l'étranger ?

    Pour maintenir le contact malgré la distance, j'utilise largement les technologies actuelles. Les appels vidéo, la messagerie instantanée et même les projets de réunions en réalité virtuelle permettent de conserver une communication régulière. J'organise également des retrouvailles annuelles, en choisissant des lieux où ma famille et mes amis se rassemblent, comme lors de voyages en République Dominicaine, au Maroc ou encore à Buenos Aires.

    Qu'est-ce qui me manque vraiment de la nourriture française à l'étranger ?

    Ce qui me manque le plus, ce n'est pas forcément la cuisine dans les restaurants français, mais bien l'expérience unique de faire ses courses en France. Les supermarchés et commerces de proximité offrent une diversité et une qualité de produits difficile à retrouver à l'étranger. En France, le simple fait de pouvoir choisir parmi une large gamme de produits frais et locaux crée une expérience culinaire quotidienne incomparable.

    Quels aspects de la vie culturelle française me manquent le plus ?

    Les sorties culturelles occupent une place importante dans mes souvenirs. À Paris, je visitais régulièrement des lieux emblématiques comme le Musée du Louvre ou le Musée d'Orsay, ainsi que des musées plus confidentiels. Ces visites enrichissantes, accompagnées de l'ambiance unique des expositions et des échanges culturels, me manquent profondément à l'étranger où l'offre culturelle est souvent bien moins dense.

    Quelles sont les solutions pour pallier le manque de culture française ?

    Pour pallier ce manque, je compense en organisant des voyages culturels vers des villes offrant une bonne scène artistique, comme New York ou Washington DC, même si le résultat reste bien différent de l'expérience française. Je regarde également des anciennes représentations théâtrales et des enregistrements culturels en ligne, ce qui permet de retrouver partiellement l'atmosphère unique d'une sortie culturelle en France.

    L'architecture française peut-elle être retrouvée ailleurs ?

    Il est très difficile de retrouver l'architecture typique de la France ailleurs. Malgré quelques quartiers attrayants dans des villes comme Buenos Aires ou certaines parties de l'Europe, l'alignement précis des façades, les grands boulevards et l'ambiance piétonne de Paris restent incomparables. Cette singularité architecturale, que j'apprécie tant, fait véritablement défaut dans les autres pays où je vis.

    Auteur

    Julien Oseille TV

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    Passionné par l'e-commerce, le business en ligne et l’expatriation, j’ai bâti ma liberté en lançant mon premier produit sur Amazon il y a 9 ans, puis en explorant les meilleures stratégies pour entreprendre sans subir une fiscalité écrasante.

    Aujourd’hui, après avoir généré plusieurs millions d’euros et vécu aux quatre coins du monde, je vous partage mon expertise pour vous aider à créer un business rentable et choisir le pays qui correspond à vos valeurs, tout en optimisant votre fiscalité.

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