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    Amazon FBA

    Peut-on encore réussir sur Amazon FBA ? La vérité sur 5 croyances !

    Amazon FBA attire chaque jour de nouveaux vendeurs, mais 5 croyances limitantes bloquent la majorité avant même de commencer. Dépasse-les pour enfin créer un business rentable et durable sur Amazon.

    Julien Oseille TV

    CEO

    PUBLIÉ

    28 août 2025


    Points clés de l'article :

    • Marché Amazon et opportunités réelles : La vérité sur un secteur que beaucoup jugent saturé.

    • Organisation et gestion du temps : Ce qui distingue ceux qui avancent de ceux qui stagnent.

    • La peur de l’échec en e-commerce : L’élément qui bloque la majorité des débutants.

    • Perfectionnisme et passage à l’action : Le piège silencieux qui retarde la réussite.

    • Travailler moins mais mieux : La clé pour développer un business rentable sur Amazon.


    Introduction

    Certains vendeurs parviennent à bâtir un business Amazon rentable tandis que d’autres, pourtant tout aussi motivés, abandonnent avant même d’atteindre leurs premiers résultats. La différence ne tient pas toujours à la stratégie ou au capital de départ. Bien souvent, ce sont des croyances limitantes invisibles qui bloquent la progression avant même que le projet n’ait réellement commencé.

    Dans cet article, nous allons analyser en détail les cinq croyances les plus fréquentes qui freinent les porteurs de projet sur Amazon. Nous verrons comment ces idées influencent le parcours entrepreneurial, d’où elles proviennent et surtout, ce qui permet de les dépasser avec clarté et efficacité.


    Croyance n°1 : « Le marché est saturé »


    Une fausse idée répandue

    Parmi les croyances limitantes les plus fréquentes chez les aspirants vendeurs Amazon, l’idée que le marché est saturé arrive très souvent en tête. Cette perception repose sur un constat en apparence logique : de plus en plus de vendeurs se lancent, il semble donc qu’il n’y ait plus de place. Pourtant, cette idée est largement fausse.

    Pourquoi persiste-t-elle ? Parce que beaucoup de personnes se focalisent uniquement sur la concurrence visible sans prendre en compte l’évolution constante de la demande. Or, Amazon est aujourd’hui la première plateforme e-commerce dans la majorité des pays où elle est implantée, et sa croissance reste continue.

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la courbe des ventes sur Amazon ne cesse de croître d’année en année, en France comme aux États-Unis, où des entreprises entières passent désormais leurs commandes directement sur la marketplace. On y trouve même des secteurs inattendus comme l’automobile ou les scooters électriques, preuve que de nouveaux marchés s’ouvrent sans cesse.

    Comprendre le vrai fonctionnement d’un marché

    Amazon ne peut être considéré comme un marché saturé tant qu’il existe de la demande. Or, la consommation évolue constamment :

    • De nouvelles tendances apparaissent chaque année, que ce soit dans la décoration, la mode, les bijoux ou encore les accessoires du quotidien.

    • Les habitudes d’achat changent et s’accélèrent. Ce qui paraissait marginal il y a encore cinq ans devient aujourd’hui mainstream.

    • Les cycles de consommation sont courts : il suffit d’observer les objets présents chez soi pour réaliser que beaucoup ont été achetés récemment, preuve que les consommateurs renouvellent sans cesse leurs achats.

    Ainsi, parler de saturation n’a pas de sens dans un environnement où la demande se renouvelle et se diversifie en permanence. Même sur des niches concurrentielles, de nouveaux entrants parviennent à se positionner chaque année en apportant une approche différente.



    Ce qu’il faut vraiment comprendre

    Ce qui se joue aujourd’hui sur Amazon n’est pas une saturation, mais une professionnalisation du marché. Les vendeurs qui réussissent ne sont pas ceux qui cherchent à copier les produits existants, mais ceux qui savent :

    • Se différencier par la qualité, le branding, la présentation et l’expérience client.

    • Identifier les nouvelles tendances suffisamment tôt pour se positionner avant la majorité.

    • Comprendre les mécaniques du commerce : un produit fonctionne lorsqu’il répond à une demande réelle, pas lorsqu’il plaît uniquement au vendeur.

    Autrement dit, il ne s’agit pas de se demander s’il reste de la place sur Amazon, mais plutôt : comment se créer sa propre place en comprenant et en anticipant les besoins du marché.


    Croyance n°2 : « Je n’ai pas le temps »



    Le manque de temps

    L’un des blocages les plus répandus chez les porteurs de projet Amazon est la croyance selon laquelle il serait impossible de lancer un business en ligne par manque de temps. Cette impression de surcharge est pourtant largement subjective et relève bien souvent d’un problème de priorisation plus que d’un manque réel de disponibilité.

    Un rapide calcul permet d’y voir plus clair : une semaine compte 168 heures. En retirant 35 heures de travail salarié et environ 56 heures de sommeil (8 heures par nuit), il reste près de 77 heures libres. Même après avoir déduit les activités familiales et personnelles, il est toujours possible de consacrer 1 à 2 heures par jour à son projet e-commerce.

    La réalité est simple : le temps ne manque pas, ce sont les priorités qui ne sont pas alignées. Ceux qui avancent le plus vite dans la création de leur business sont souvent ceux qui, ont décidé de supprimer les excuses et de placer leur projet entrepreneurial en haut de la liste.


    S’organiser efficacement

    Il ne suffit pas d’avoir du temps, encore faut-il savoir l’organiser intelligemment. L’un des leviers les plus efficaces pour structurer ses journées est l’approche par blocs horaires.

    Ce système consiste à réserver dans son agenda des créneaux dédiés exclusivement aux tâches prioritaires. L’objectif est de créer un espace incompressible de travail, même en ayant un emploi salarié ou un quotidien chargé.

    Par exemple, il est possible de bloquer :

    • 1h chaque matin avant le début de la journée de travail

    • 1h le soir à heure fixe, en évitant les distractions extérieures

    • Des sessions plus longues le week-end, selon les disponibilités

    Des outils simples mais puissants permettent de structurer cette organisation, notamment :

    • Google Calendar, pour planifier visuellement les plages de travail

    • Asana, pour établir des to-do lists hebdomadaires et suivre l’avancement des tâches

    Ce type d’organisation permet de donner du rythme et d’avancer par étapes concrètes, sans dispersion.

    Quelques astuces simples

    Bien organiser son temps implique également de neutraliser les sources de distraction. C’est souvent ce qui fait la différence entre une heure de travail réellement productive et une heure perdue à naviguer entre les réseaux sociaux et les applications inutiles.



    Voici quelques actions concrètes :

    • Supprimer temporairement les applications chronophages comme Instagram ou TikTok en semaine

    • Désactiver les notifications pour éviter les interruptions constantes

    • Créer une to-do list hebdomadaire, avec des objectifs clairs à valider jour après jour

    • Faire un point à la fin de chaque semaine pour mesurer les progrès réalisés

    L’intérêt de cette approche est double : elle renforce la discipline personnelle et elle permet de constater des avancées réelles, ce qui alimente naturellement la motivation.

    Être organisé ne signifie pas tout faire en même temps. Cela signifie savoir quoi faire, quand, et pourquoi. Et dans un projet Amazon, il suffit parfois d’1 à 2 heures par jour bien utilisées pour obtenir des résultats concrets en quelques mois.


    Croyance n°3 : « J’ai peur d’échouer »



    L’échec fait partie du processus

    La peur de l’échec est l’une des barrières psychologiques les plus puissantes chez les entrepreneurs qui envisagent de se lancer sur Amazon. Cette crainte provient souvent d’une vision négative de l’échec, perçu comme une fin en soi. Pourtant, dans la réalité du business, l’échec est un passage obligé et surtout un formidable outil d’apprentissage.

    De nombreux vendeurs Amazon qui réussissent aujourd’hui ont connu des débuts difficiles, parfois marqués par des produits non rentables ou des choix stratégiques peu judicieux. La différence entre ceux qui abandonnent et ceux qui réussissent se situe dans la capacité à tirer des enseignements de chaque étape.

    L’échec n’est pas synonyme d’arrêt définitif, il constitue une étape normale du parcours entrepreneurial. Chaque test, même infructueux, offre une expérience concrète qui prépare à de meilleures décisions pour la suite.

    Adopter le bon état d’esprit

    La clé pour avancer malgré la peur est de reprogrammer sa perception de l’échec. Plutôt que de le voir comme une menace, il faut le considérer comme une expérience de test. Dans l’e-commerce, tout repose sur l’expérimentation : un produit peut échouer, mais cela ne signifie pas que l’ensemble du projet est compromis.

    Deux leviers sont particulièrement importants :

    • Travailler par itérations : avancer étape par étape, valider ou invalider des hypothèses avant d’engager davantage de ressources.

    • Prendre des décisions mesurées : éviter les choix impulsifs et se baser sur des données concrètes, notamment les analyses de marché et les retours clients.

    Cet état d’esprit permet de transformer chaque tentative en brique de connaissance, réduisant ainsi progressivement la part d’incertitude et renforçant la confiance dans ses choix.

    Investir sans crainte irrationnelle



    La peur d’échouer est souvent exacerbée par la crainte de perdre son investissement. Pourtant, avec une gestion rationnelle et des montants proportionnés, ce risque est maîtrisable. Le secret réside dans le bon ratio risque/rendement.

    Un exemple concret illustre parfaitement ce principe : un lancement de produit avec un investissement de 5 000 euros a été revendu quelques mois plus tard pour 88 000 euros. Le succès a été rendu possible parce que l’entrepreneur a accepté l’idée que cet investissement initial pouvait comporter une part de risque.

    Le véritable danger n’est pas de perdre un produit ou une somme mesurée, mais de ne jamais se lancer. Tant que les décisions d’investissement sont prises avec méthode et lucidité, le risque d’échec n’est pas un frein, mais une étape logique vers la réussite.

    La peur d’échouer disparaît lorsqu’elle est remplacée par une vision à long terme et une stratégie rationnelle.C’est en acceptant l’incertitude et en agissant malgré elle que les résultats finissent par arriver.



    Croyance n°4 : « Il faut que tout soit parfait avant de me lancer »

    Le perfectionnisme, ennemi de l’action

    L’idée selon laquelle il faudrait attendre que tout soit parfaitement en place avant de se lancer est l’une des croyances les plus paralysantes pour les aspirants vendeurs sur Amazon. Derrière ce perfectionnisme se cache bien souvent une peur du jugement ou de l’échec, déguisée en logique rationnelle. En réalité, attendre que tout soit parfait revient à ne jamais agir.



    Le monde de l’entrepreneuriat, et plus spécifiquement celui du e-commerce, repose sur une dynamique d’ajustement permanent. Les vendeurs qui réussissent ne sont pas ceux qui attendent un alignement parfait des conditions, mais ceux qui avancent avec ce qu’ils ont, même de manière imparfaite, puis optimisent en cours de route.

    Cette approche s’appuie sur la loi de Pareto (80/20) : dans 80 % des cas, 20 % des actions sont responsables de la majorité des résultats. Il est donc beaucoup plus efficace de se concentrer sur l’essentiel que de viser une perfection illusoire qui consomme un temps démesuré et retarde inutilement le passage à l’action.

    Comment avancer sans que tout soit parfait

    Pour progresser malgré l’imperfection, il est nécessaire de structurer sa démarche avec des outils concrets. Cela passe notamment par la décomposition du projet en micro-tâches, faciles à exécuter et moins intimidantes.

    Plutôt que d’attendre d’avoir une stratégie complète, une marque aboutie et un branding parfait, il est possible de démarrer par :

    Cette méthode permet d’avancer rapidement tout en apprenant par l’action. Elle repose également sur un élément fondamental : le détachement émotionnel du produit. Il ne s’agit pas de créer l’objet parfait, mais de répondre à une demande du marché avec efficacité. Un produit n’est qu’un véhicule commercial, il peut être modifié, remplacé ou amélioré à tout moment.

    La perfection est souvent un obstacle mental bien plus qu’un objectif stratégique. Accepter que tout ne soit pas figé dès le départ libère une énergie considérable.

    Agir avant d’être « prêt »

    Attendre d’être prêt est une stratégie qui coûte cher en opportunités. Le marché n’attend pas, les tendances évoluent rapidement et les places se gagnent par la réactivité.



    Les vendeurs les plus performants n’ont pas lancé leur business dans des conditions idéales. Ils ont avancé avec les moyens du bord, ont appris en marchant, et ont corrigé leurs erreurs en cours de route. Plusieurs exemples parmi les membres de ma formation Amazon FBA et de notre mentorat Amazon FBA montrent que des réussites notables sont nées de lancements imparfaits, rendues possibles par une exécution rapide et une capacité à s’ajuster.

    Dans le e-commerce, la vitesse d’exécution est un avantage compétitif. Mieux vaut lancer un produit correct aujourd’hui et l’améliorer au fil des retours clients que d’attendre six mois pour sortir une version supposément parfaite qui arrive trop tard.

    Le perfectionnisme retarde l’expérience, et sans expérience, il est impossible de progresser. C’est l’action, même imparfaite, qui génère les résultats, les données concrètes et la confiance nécessaire pour aller plus loin.


    Croyance n°5 : « Il faut travailler énormément pour réussir »

    Travailler dur vs. travailler intelligemment

    L’une des idées reçues les plus persistantes dans l’imaginaire collectif est que la réussite entrepreneuriale passe nécessairement par un volume de travail massif et constant. Cette vision est alimentée par une culture de la performance dans laquelle seuls les plus acharnés seraient récompensés.



    Pourtant, sur Amazon, ce schéma ne correspond pas à la réalité du terrain. Il existe effectivement des phases de travail intense, notamment au moment du lancement d’un produit ou de la mise en place initiale d’un compte vendeur. Durant cette période, l’investissement en temps est important, car il faut poser les fondations :

    • Étude de marché

    • Recherche fournisseurs

    • Création des fiches produits

    • Optimisation SEO et campagnes publicitaires

    Mais une fois cette phase passée, le modèle Amazon permet d’atteindre un rythme de croisière beaucoup plus léger, grâce à des mécanismes automatisés et une délégation intelligente des tâches.

    L’automatisation et l’effet levier

    Le business Amazon FBA repose sur une logique de scalabilité. Cela signifie que les efforts déployés une fois peuvent générer des résultats pendant plusieurs mois, voire plusieurs années, sans nécessiter une présence continue.

    La structure FBA (Fulfillment by Amazon) est au cœur de ce système : Amazon se charge du stockage, de la logistique, de l’expédition et du service client. Ce système offre aux vendeurs un effet levier considérable, en leur permettant de vendre à grande échelle sans avoir à gérer l’opérationnel au quotidien.

    De plus, de nombreux processus peuvent être optimisés ou automatisés :

    • L’analyse des performances via des dashboards de suivi

    • La gestion des stocks et des réapprovisionnements

    • Le traitement des campagnes publicitaires

    Ce type d’organisation permet de maximiser les résultats sans augmenter la charge de travail. Il s’agit d’un changement de paradigme : ne plus échanger son temps contre de l’argent, mais construire des actifs qui travaillent à sa place.

    Gagner plus en travaillant moins (vraiment)

    Contrairement à l’idée reçue selon laquelle il faudrait y consacrer ses journées entières, un business Amazon bien structuré peut générer des revenus importants avec peu d’heures de travail hebdomadaires.

    Par exemple, certains vendeurs montrent qu’il est possible de dépasser les 10 000 euros de chiffre d’affaires mensuel avec quelques heures de travail par semaine, une fois les fondations mises en place.

    Cela ne signifie pas qu’il s’agisse d’un revenu passif dès le départ, mais plutôt que l’effet cumulé du travail bien fait permet, sur le long terme, de s’éloigner progressivement de l’échange temps contre argent.



    L’objectif n’est pas de tout faire, mais de se concentrer sur les tâches à forte valeur ajoutée :

    • Analyse stratégique des produits

    • Optimisation des fiches et des performances

    • Décisions d’expansion ou de lancement de nouvelles références

    Ce sont ces tâches, et non le travail répétitif, qui font évoluer un business et permettent d’augmenter la rentabilité sans allonger le temps de travail.

    La vraie réussite sur Amazon ne repose pas sur la quantité d’efforts fournis, mais sur la qualité des décisions prises et la capacité à créer un système qui travaille à long terme.


    Conclusion

    En résumé, ces cinq croyances limitantes constituent des freins puissants à la réussite sur Amazon. Elles génèrent des blocages invisibles qui empêchent de passer à l’action ou de le faire de manière structurée et efficace. Le mythe d’un marché saturé, la perception d’un manque de temps, la peur de l’échec, l’obsession de la perfection ou encore la confusion entre travail intense et stratégie performante sont autant de pièges mentaux dans lesquels tombent la majorité des porteurs de projet. Pour les dépasser, il est essentiel de développer un état d’esprit tourné vers l’action, l’adaptabilité, la rigueur opérationnelle et la prise de décisions éclairées.

    Construire un business Amazon rentable repose sur une stratégie solide, des actions concrètes et un mindset orienté exécution. Pour structurer efficacement votre lancement, découvrez mon programme stratégique Amazon FBA conçu pour bâtir un business durable, que vous soyez débutant ou déjà lancé. Et pour bénéficier d’un accompagnement individualisé, notre mentorat Amazon FBA sur mesure, avec suivi personnalisé à chaque étape est également disponible. Ces ressources offrent un cadre clair pour avancer plus vite, en évitant les erreurs les plus coûteuses.


    FAQ

    Le marché Amazon est-il trop saturé pour se lancer aujourd’hui ?

    Non. Amazon continue de croître et la demande ne cesse d’évoluer. Ce n’est pas la saturation qui bloque, mais la nécessité de se différencier sur un marché qui se professionnalise.

    Faut-il attendre d’avoir un produit parfait avant de se lancer sur Amazon ?

    Non. Attendre la perfection ralentit le passage à l’action. Il est plus efficace de lancer un produit optimisé, puis d’améliorer au fil du temps en fonction des retours et des données.

    Combien de temps faut-il pour réussir sur Amazon FBA ?

    La réussite dépend de l’implication et de la stratégie mise en place. Avec une méthode structurée, les premiers résultats peuvent arriver en quelques mois, même à temps partiel.

    Comment surmonter la peur de l’échec dans le e-commerce ?

    Il faut changer de perspective : l’échec n’est pas une fin mais un apprentissage. Chaque étape, même imparfaite, permet de progresser et de prendre de meilleures décisions.

    Faut-il tout gérer soi-même pour réussir sur Amazon ?

    Non. Il est possible de déléguer, d’automatiser et de se faire accompagner. Un accompagnement structuré permet de gagner du temps, d’éviter les erreurs et de rester focus sur les actions à forte valeur ajoutée.


    Points clés de l'article :

    • Marché Amazon et opportunités réelles : La vérité sur un secteur que beaucoup jugent saturé.

    • Organisation et gestion du temps : Ce qui distingue ceux qui avancent de ceux qui stagnent.

    • La peur de l’échec en e-commerce : L’élément qui bloque la majorité des débutants.

    • Perfectionnisme et passage à l’action : Le piège silencieux qui retarde la réussite.

    • Travailler moins mais mieux : La clé pour développer un business rentable sur Amazon.


    Introduction

    Certains vendeurs parviennent à bâtir un business Amazon rentable tandis que d’autres, pourtant tout aussi motivés, abandonnent avant même d’atteindre leurs premiers résultats. La différence ne tient pas toujours à la stratégie ou au capital de départ. Bien souvent, ce sont des croyances limitantes invisibles qui bloquent la progression avant même que le projet n’ait réellement commencé.

    Dans cet article, nous allons analyser en détail les cinq croyances les plus fréquentes qui freinent les porteurs de projet sur Amazon. Nous verrons comment ces idées influencent le parcours entrepreneurial, d’où elles proviennent et surtout, ce qui permet de les dépasser avec clarté et efficacité.


    Croyance n°1 : « Le marché est saturé »


    Une fausse idée répandue

    Parmi les croyances limitantes les plus fréquentes chez les aspirants vendeurs Amazon, l’idée que le marché est saturé arrive très souvent en tête. Cette perception repose sur un constat en apparence logique : de plus en plus de vendeurs se lancent, il semble donc qu’il n’y ait plus de place. Pourtant, cette idée est largement fausse.

    Pourquoi persiste-t-elle ? Parce que beaucoup de personnes se focalisent uniquement sur la concurrence visible sans prendre en compte l’évolution constante de la demande. Or, Amazon est aujourd’hui la première plateforme e-commerce dans la majorité des pays où elle est implantée, et sa croissance reste continue.

    Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la courbe des ventes sur Amazon ne cesse de croître d’année en année, en France comme aux États-Unis, où des entreprises entières passent désormais leurs commandes directement sur la marketplace. On y trouve même des secteurs inattendus comme l’automobile ou les scooters électriques, preuve que de nouveaux marchés s’ouvrent sans cesse.

    Comprendre le vrai fonctionnement d’un marché

    Amazon ne peut être considéré comme un marché saturé tant qu’il existe de la demande. Or, la consommation évolue constamment :

    • De nouvelles tendances apparaissent chaque année, que ce soit dans la décoration, la mode, les bijoux ou encore les accessoires du quotidien.

    • Les habitudes d’achat changent et s’accélèrent. Ce qui paraissait marginal il y a encore cinq ans devient aujourd’hui mainstream.

    • Les cycles de consommation sont courts : il suffit d’observer les objets présents chez soi pour réaliser que beaucoup ont été achetés récemment, preuve que les consommateurs renouvellent sans cesse leurs achats.

    Ainsi, parler de saturation n’a pas de sens dans un environnement où la demande se renouvelle et se diversifie en permanence. Même sur des niches concurrentielles, de nouveaux entrants parviennent à se positionner chaque année en apportant une approche différente.



    Ce qu’il faut vraiment comprendre

    Ce qui se joue aujourd’hui sur Amazon n’est pas une saturation, mais une professionnalisation du marché. Les vendeurs qui réussissent ne sont pas ceux qui cherchent à copier les produits existants, mais ceux qui savent :

    • Se différencier par la qualité, le branding, la présentation et l’expérience client.

    • Identifier les nouvelles tendances suffisamment tôt pour se positionner avant la majorité.

    • Comprendre les mécaniques du commerce : un produit fonctionne lorsqu’il répond à une demande réelle, pas lorsqu’il plaît uniquement au vendeur.

    Autrement dit, il ne s’agit pas de se demander s’il reste de la place sur Amazon, mais plutôt : comment se créer sa propre place en comprenant et en anticipant les besoins du marché.


    Croyance n°2 : « Je n’ai pas le temps »



    Le manque de temps

    L’un des blocages les plus répandus chez les porteurs de projet Amazon est la croyance selon laquelle il serait impossible de lancer un business en ligne par manque de temps. Cette impression de surcharge est pourtant largement subjective et relève bien souvent d’un problème de priorisation plus que d’un manque réel de disponibilité.

    Un rapide calcul permet d’y voir plus clair : une semaine compte 168 heures. En retirant 35 heures de travail salarié et environ 56 heures de sommeil (8 heures par nuit), il reste près de 77 heures libres. Même après avoir déduit les activités familiales et personnelles, il est toujours possible de consacrer 1 à 2 heures par jour à son projet e-commerce.

    La réalité est simple : le temps ne manque pas, ce sont les priorités qui ne sont pas alignées. Ceux qui avancent le plus vite dans la création de leur business sont souvent ceux qui, ont décidé de supprimer les excuses et de placer leur projet entrepreneurial en haut de la liste.


    S’organiser efficacement

    Il ne suffit pas d’avoir du temps, encore faut-il savoir l’organiser intelligemment. L’un des leviers les plus efficaces pour structurer ses journées est l’approche par blocs horaires.

    Ce système consiste à réserver dans son agenda des créneaux dédiés exclusivement aux tâches prioritaires. L’objectif est de créer un espace incompressible de travail, même en ayant un emploi salarié ou un quotidien chargé.

    Par exemple, il est possible de bloquer :

    • 1h chaque matin avant le début de la journée de travail

    • 1h le soir à heure fixe, en évitant les distractions extérieures

    • Des sessions plus longues le week-end, selon les disponibilités

    Des outils simples mais puissants permettent de structurer cette organisation, notamment :

    • Google Calendar, pour planifier visuellement les plages de travail

    • Asana, pour établir des to-do lists hebdomadaires et suivre l’avancement des tâches

    Ce type d’organisation permet de donner du rythme et d’avancer par étapes concrètes, sans dispersion.

    Quelques astuces simples

    Bien organiser son temps implique également de neutraliser les sources de distraction. C’est souvent ce qui fait la différence entre une heure de travail réellement productive et une heure perdue à naviguer entre les réseaux sociaux et les applications inutiles.



    Voici quelques actions concrètes :

    • Supprimer temporairement les applications chronophages comme Instagram ou TikTok en semaine

    • Désactiver les notifications pour éviter les interruptions constantes

    • Créer une to-do list hebdomadaire, avec des objectifs clairs à valider jour après jour

    • Faire un point à la fin de chaque semaine pour mesurer les progrès réalisés

    L’intérêt de cette approche est double : elle renforce la discipline personnelle et elle permet de constater des avancées réelles, ce qui alimente naturellement la motivation.

    Être organisé ne signifie pas tout faire en même temps. Cela signifie savoir quoi faire, quand, et pourquoi. Et dans un projet Amazon, il suffit parfois d’1 à 2 heures par jour bien utilisées pour obtenir des résultats concrets en quelques mois.


    Croyance n°3 : « J’ai peur d’échouer »



    L’échec fait partie du processus

    La peur de l’échec est l’une des barrières psychologiques les plus puissantes chez les entrepreneurs qui envisagent de se lancer sur Amazon. Cette crainte provient souvent d’une vision négative de l’échec, perçu comme une fin en soi. Pourtant, dans la réalité du business, l’échec est un passage obligé et surtout un formidable outil d’apprentissage.

    De nombreux vendeurs Amazon qui réussissent aujourd’hui ont connu des débuts difficiles, parfois marqués par des produits non rentables ou des choix stratégiques peu judicieux. La différence entre ceux qui abandonnent et ceux qui réussissent se situe dans la capacité à tirer des enseignements de chaque étape.

    L’échec n’est pas synonyme d’arrêt définitif, il constitue une étape normale du parcours entrepreneurial. Chaque test, même infructueux, offre une expérience concrète qui prépare à de meilleures décisions pour la suite.

    Adopter le bon état d’esprit

    La clé pour avancer malgré la peur est de reprogrammer sa perception de l’échec. Plutôt que de le voir comme une menace, il faut le considérer comme une expérience de test. Dans l’e-commerce, tout repose sur l’expérimentation : un produit peut échouer, mais cela ne signifie pas que l’ensemble du projet est compromis.

    Deux leviers sont particulièrement importants :

    • Travailler par itérations : avancer étape par étape, valider ou invalider des hypothèses avant d’engager davantage de ressources.

    • Prendre des décisions mesurées : éviter les choix impulsifs et se baser sur des données concrètes, notamment les analyses de marché et les retours clients.

    Cet état d’esprit permet de transformer chaque tentative en brique de connaissance, réduisant ainsi progressivement la part d’incertitude et renforçant la confiance dans ses choix.

    Investir sans crainte irrationnelle



    La peur d’échouer est souvent exacerbée par la crainte de perdre son investissement. Pourtant, avec une gestion rationnelle et des montants proportionnés, ce risque est maîtrisable. Le secret réside dans le bon ratio risque/rendement.

    Un exemple concret illustre parfaitement ce principe : un lancement de produit avec un investissement de 5 000 euros a été revendu quelques mois plus tard pour 88 000 euros. Le succès a été rendu possible parce que l’entrepreneur a accepté l’idée que cet investissement initial pouvait comporter une part de risque.

    Le véritable danger n’est pas de perdre un produit ou une somme mesurée, mais de ne jamais se lancer. Tant que les décisions d’investissement sont prises avec méthode et lucidité, le risque d’échec n’est pas un frein, mais une étape logique vers la réussite.

    La peur d’échouer disparaît lorsqu’elle est remplacée par une vision à long terme et une stratégie rationnelle.C’est en acceptant l’incertitude et en agissant malgré elle que les résultats finissent par arriver.



    Croyance n°4 : « Il faut que tout soit parfait avant de me lancer »

    Le perfectionnisme, ennemi de l’action

    L’idée selon laquelle il faudrait attendre que tout soit parfaitement en place avant de se lancer est l’une des croyances les plus paralysantes pour les aspirants vendeurs sur Amazon. Derrière ce perfectionnisme se cache bien souvent une peur du jugement ou de l’échec, déguisée en logique rationnelle. En réalité, attendre que tout soit parfait revient à ne jamais agir.



    Le monde de l’entrepreneuriat, et plus spécifiquement celui du e-commerce, repose sur une dynamique d’ajustement permanent. Les vendeurs qui réussissent ne sont pas ceux qui attendent un alignement parfait des conditions, mais ceux qui avancent avec ce qu’ils ont, même de manière imparfaite, puis optimisent en cours de route.

    Cette approche s’appuie sur la loi de Pareto (80/20) : dans 80 % des cas, 20 % des actions sont responsables de la majorité des résultats. Il est donc beaucoup plus efficace de se concentrer sur l’essentiel que de viser une perfection illusoire qui consomme un temps démesuré et retarde inutilement le passage à l’action.

    Comment avancer sans que tout soit parfait

    Pour progresser malgré l’imperfection, il est nécessaire de structurer sa démarche avec des outils concrets. Cela passe notamment par la décomposition du projet en micro-tâches, faciles à exécuter et moins intimidantes.

    Plutôt que d’attendre d’avoir une stratégie complète, une marque aboutie et un branding parfait, il est possible de démarrer par :

    Cette méthode permet d’avancer rapidement tout en apprenant par l’action. Elle repose également sur un élément fondamental : le détachement émotionnel du produit. Il ne s’agit pas de créer l’objet parfait, mais de répondre à une demande du marché avec efficacité. Un produit n’est qu’un véhicule commercial, il peut être modifié, remplacé ou amélioré à tout moment.

    La perfection est souvent un obstacle mental bien plus qu’un objectif stratégique. Accepter que tout ne soit pas figé dès le départ libère une énergie considérable.

    Agir avant d’être « prêt »

    Attendre d’être prêt est une stratégie qui coûte cher en opportunités. Le marché n’attend pas, les tendances évoluent rapidement et les places se gagnent par la réactivité.



    Les vendeurs les plus performants n’ont pas lancé leur business dans des conditions idéales. Ils ont avancé avec les moyens du bord, ont appris en marchant, et ont corrigé leurs erreurs en cours de route. Plusieurs exemples parmi les membres de ma formation Amazon FBA et de notre mentorat Amazon FBA montrent que des réussites notables sont nées de lancements imparfaits, rendues possibles par une exécution rapide et une capacité à s’ajuster.

    Dans le e-commerce, la vitesse d’exécution est un avantage compétitif. Mieux vaut lancer un produit correct aujourd’hui et l’améliorer au fil des retours clients que d’attendre six mois pour sortir une version supposément parfaite qui arrive trop tard.

    Le perfectionnisme retarde l’expérience, et sans expérience, il est impossible de progresser. C’est l’action, même imparfaite, qui génère les résultats, les données concrètes et la confiance nécessaire pour aller plus loin.


    Croyance n°5 : « Il faut travailler énormément pour réussir »

    Travailler dur vs. travailler intelligemment

    L’une des idées reçues les plus persistantes dans l’imaginaire collectif est que la réussite entrepreneuriale passe nécessairement par un volume de travail massif et constant. Cette vision est alimentée par une culture de la performance dans laquelle seuls les plus acharnés seraient récompensés.



    Pourtant, sur Amazon, ce schéma ne correspond pas à la réalité du terrain. Il existe effectivement des phases de travail intense, notamment au moment du lancement d’un produit ou de la mise en place initiale d’un compte vendeur. Durant cette période, l’investissement en temps est important, car il faut poser les fondations :

    • Étude de marché

    • Recherche fournisseurs

    • Création des fiches produits

    • Optimisation SEO et campagnes publicitaires

    Mais une fois cette phase passée, le modèle Amazon permet d’atteindre un rythme de croisière beaucoup plus léger, grâce à des mécanismes automatisés et une délégation intelligente des tâches.

    L’automatisation et l’effet levier

    Le business Amazon FBA repose sur une logique de scalabilité. Cela signifie que les efforts déployés une fois peuvent générer des résultats pendant plusieurs mois, voire plusieurs années, sans nécessiter une présence continue.

    La structure FBA (Fulfillment by Amazon) est au cœur de ce système : Amazon se charge du stockage, de la logistique, de l’expédition et du service client. Ce système offre aux vendeurs un effet levier considérable, en leur permettant de vendre à grande échelle sans avoir à gérer l’opérationnel au quotidien.

    De plus, de nombreux processus peuvent être optimisés ou automatisés :

    • L’analyse des performances via des dashboards de suivi

    • La gestion des stocks et des réapprovisionnements

    • Le traitement des campagnes publicitaires

    Ce type d’organisation permet de maximiser les résultats sans augmenter la charge de travail. Il s’agit d’un changement de paradigme : ne plus échanger son temps contre de l’argent, mais construire des actifs qui travaillent à sa place.

    Gagner plus en travaillant moins (vraiment)

    Contrairement à l’idée reçue selon laquelle il faudrait y consacrer ses journées entières, un business Amazon bien structuré peut générer des revenus importants avec peu d’heures de travail hebdomadaires.

    Par exemple, certains vendeurs montrent qu’il est possible de dépasser les 10 000 euros de chiffre d’affaires mensuel avec quelques heures de travail par semaine, une fois les fondations mises en place.

    Cela ne signifie pas qu’il s’agisse d’un revenu passif dès le départ, mais plutôt que l’effet cumulé du travail bien fait permet, sur le long terme, de s’éloigner progressivement de l’échange temps contre argent.



    L’objectif n’est pas de tout faire, mais de se concentrer sur les tâches à forte valeur ajoutée :

    • Analyse stratégique des produits

    • Optimisation des fiches et des performances

    • Décisions d’expansion ou de lancement de nouvelles références

    Ce sont ces tâches, et non le travail répétitif, qui font évoluer un business et permettent d’augmenter la rentabilité sans allonger le temps de travail.

    La vraie réussite sur Amazon ne repose pas sur la quantité d’efforts fournis, mais sur la qualité des décisions prises et la capacité à créer un système qui travaille à long terme.


    Conclusion

    En résumé, ces cinq croyances limitantes constituent des freins puissants à la réussite sur Amazon. Elles génèrent des blocages invisibles qui empêchent de passer à l’action ou de le faire de manière structurée et efficace. Le mythe d’un marché saturé, la perception d’un manque de temps, la peur de l’échec, l’obsession de la perfection ou encore la confusion entre travail intense et stratégie performante sont autant de pièges mentaux dans lesquels tombent la majorité des porteurs de projet. Pour les dépasser, il est essentiel de développer un état d’esprit tourné vers l’action, l’adaptabilité, la rigueur opérationnelle et la prise de décisions éclairées.

    Construire un business Amazon rentable repose sur une stratégie solide, des actions concrètes et un mindset orienté exécution. Pour structurer efficacement votre lancement, découvrez mon programme stratégique Amazon FBA conçu pour bâtir un business durable, que vous soyez débutant ou déjà lancé. Et pour bénéficier d’un accompagnement individualisé, notre mentorat Amazon FBA sur mesure, avec suivi personnalisé à chaque étape est également disponible. Ces ressources offrent un cadre clair pour avancer plus vite, en évitant les erreurs les plus coûteuses.


    FAQ

    Le marché Amazon est-il trop saturé pour se lancer aujourd’hui ?

    Non. Amazon continue de croître et la demande ne cesse d’évoluer. Ce n’est pas la saturation qui bloque, mais la nécessité de se différencier sur un marché qui se professionnalise.

    Faut-il attendre d’avoir un produit parfait avant de se lancer sur Amazon ?

    Non. Attendre la perfection ralentit le passage à l’action. Il est plus efficace de lancer un produit optimisé, puis d’améliorer au fil du temps en fonction des retours et des données.

    Combien de temps faut-il pour réussir sur Amazon FBA ?

    La réussite dépend de l’implication et de la stratégie mise en place. Avec une méthode structurée, les premiers résultats peuvent arriver en quelques mois, même à temps partiel.

    Comment surmonter la peur de l’échec dans le e-commerce ?

    Il faut changer de perspective : l’échec n’est pas une fin mais un apprentissage. Chaque étape, même imparfaite, permet de progresser et de prendre de meilleures décisions.

    Faut-il tout gérer soi-même pour réussir sur Amazon ?

    Non. Il est possible de déléguer, d’automatiser et de se faire accompagner. Un accompagnement structuré permet de gagner du temps, d’éviter les erreurs et de rester focus sur les actions à forte valeur ajoutée.

    Auteur

    Julien Oseille TV

    CEO

    Passionné par l'e-commerce, le business en ligne et l’expatriation, j’ai bâti ma liberté en lançant mon premier produit sur Amazon il y a 9 ans, puis en explorant les meilleures stratégies pour entreprendre sans subir une fiscalité écrasante.

    Aujourd’hui, après avoir généré plusieurs millions d’euros et vécu aux quatre coins du monde, je vous partage mon expertise pour vous aider à créer un business rentable et choisir le pays qui correspond à vos valeurs, tout en optimisant votre fiscalité.

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